La porte de la grâce

La porte de la grâce
Il y a une porte qui n’est pas loin de chacun. Une porte accessible, ouverte, accueillante, libératrice. Une porte d’espérance, de renouveau, de contentement. Une porte qui satisfait vraiment celui qui l’emprunte. Une porte qui ouvre les yeux et le cœur. Une porte qui transforme et donne des ailes.

C’est la porte de la grâce. Cette porte se nomme « Jésus-Christ ».

Il a dit : « Je suis la porte, si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé. Il entrera, il sortira, et il trouvera de verts pâturages. » Jean 10

Alors que la loi de Dieu nous condamne tous parce que nous sommes des pécheurs, la grâce de Dieu c’est d’avoir envoyé un innocent mourir sur une croix pour nous. Jésus, homme parfait et saint, a subi le jugement d’un coupable. C’est une grâce, une faveur que Dieu nous fait.

Il nous invite alors à croire en son Fils Jésus-Christ. Jésus est la porte de la grâce. Celui qui l’empreinte, en croyant et en se donnant à Lui, accède au pardon et à la vie éternelle. La communion avec Dieu commence donc par le passage de cette porte.

Jésus a dit: « Croyez en Dieu et croyez en moi »

Le premier pas d’une foi sincère, c’est une prière de repentance et une requête simple, mais vraie, pour lui demander de nous sauver.

« Seigneur, je sais que je suis pécheur. J’ai transgressé ta sainte loi. Mais je te demande pardon aujourd’hui. Et je te demande de me sauver par ta grâce. Je crois que Jésus-Christ est mort pour mes péchés. Je te remercie donc de m’accorder ton pardon et de faire de moi ton enfant. »

« La foi vient de ce que l’on entend, et ce que l’on entend de la Parole de Christ ». Procurez vous une Bible, et commencez par lire le Nouveau Testament. Dieu vous donnera des réponses, parlera à votre cœur et nourrira votre âme.

UELLES SONT LES PREUVES DE LA RÉSURRECTION?

UELLES SONT LES PREUVES DE LA RÉSURRECTION?

Dans le livre de Job, au chapitre 14 verset 14, il est écrit: “Si l’homme une fois mort pouvait revivre” C’était le cri d’un homme éprouvé qui n’avait plus beaucoup d’espérance, et qui aspirait à une nouvelle vie après la mort. Si seulement, l’homme une fois mort, pouvait revivre…

Job est mort. Mais son souhait va être exaucé. Il revivra un jour. Parce que quelqu’un a triomphé de la mort. Nous croyons que Jésus-Christ est ressuscité d’entre les morts. Est-ce-que nous avons raison de croire cela? Nous allons voir ce matin les preuves de la résurrection de Jésus-Christ.

Il faut savoir que la résurrection est la clef de voûte de tout le christianisme. C’est sur elle que repose toute la foi chrétienne. Vous enlevez la résurrection, et tout l’édifice s’effondre!
C’est ce que l’apôtre Paul a dit:

1) “Si Christ n’est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine” Le fait de prêcher Jésus-Christ, comme je suis en train de faire ce matin, c’est complètement vain s’il n’est pas ressuscité! Ça n’a pas de sens, puisque tout ne serait qu’un vaste mensonge!

2) Paul ajoute s’il n’est pas ressuscité, alors “notre foi est vaine!” Nous croyons, nous nous réunissons, nous prions, nous lisons la Bible en vain, pour rien!

3) Paul continue en disant que s’il n’est pas ressuscité, “Il se trouve même que nous sommes des faux témoins à l’égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu qu’il a ressuscité Christ, tandis qu’il ne l’aurait pas ressuscité…” Tous les chrétiens seraient en fait des menteurs portant un faux témoignage.

4) Et Paul dit encore, si Christ n’est pas ressuscité, “nous sommes les plus malheureux des
hommes!” Parce que les chrétiens croient sincèrement et de tout leur coeur dans la résurrection. Elle est leur joie, leur bonheur, leur espérance. S’il n’était pas réellement ressuscité, alors la vie des chrétiens seraient la plus triste de toutes les vies, parce qu’elle serait une espérance trompeuse.

Mais Paul finit par conclure:
“Mais maintenant Christ EST ressuscité des morts, il est les prémices de ceux qui sont morts.”

I ) Jésus, personnage historique.
Avant de parler de la résurrection, on peut voir premièrement, que Jésus est un personnage historique. On ne peut pas nier ce fait. Celui qui dit que Jésus est une légende, un mythe, il se fait aujourd’hui passer pour un idiot. Parce que les preuves sont trop nombreuses. On peut citer les historiens qui parlent de Jésus.

Tel Flavius Josephe dans les antiquités juives. Je sais que dans les antiquités juives, certains passages parlant de Jésus ont été remis en question par certains historiens parce qu’ils pensent que peut-être ils auraient été retouchés par des chrétiens. Donc certains des textes de Flavius Josephe sont controversés. Sans entrer dans le débat, je vais simplement vous lire un texte de lui qui n’EST PAS controversé. (Antiquités 18.3-3) C’est une copie transmise par les arabes, et dont le contenu est accepté des historiens sceptiques.(Manuscrit du Xeme siècle Kitab Al-Unwal. D’après l’historien juif Shlomo Pines)
“En ce temps là, vivait un homme sage qui s’appelait Jésus. Il avait une conduite irréprochable, et il était connu comme un homme vertueux. Et beaucoup de gens parmi les Juifs et les autres Nations devinrent ses disciples. Pilate le condamna à être crucifié et à mourir. Ceux qui devinrent ses disciples ne cessèrent pas de suivre son enseignement. Ils rapportèrent qu’il leur était apparu le troisième jour après sa crucifixion et qu’il était vivant. A ce propos, il était peut-être le Messie dont les prophètes avaient rapporté les merveilles…” Josephe ne fait pas allusion à quelqu’un d’imaginaire. Il était irréprochable, vertueux, il fut crucifié, et il apparut vivant ensuite à ses disciples.

On peut citer aussi Tacite, qui était un historien romain et gouverneur en Asie. Il rapporte dans ses annales, je cite: “Quelque fût le soulagement apporté par un homme, ou les bontés qu’un prince puisse apporter, ou les sacrifices d’expiation que l’on pourrait présenter aux dieux, rien n’aurait soulagé Néron de l’infamie des rumeurs qui circulaient selon lesquelles il aurait lui-même ordonné cette conflagration, c’est à dire, l’incendie de Rome. C’est pourquoi, pour faire cesser ces rumeurs, il accusa les chrétiens qui étaient haïs pour leur énormité, les chargea de cette culpabilité, et les punit par toutes sortes de tortures affreuses. Christus, qui était le nom de leur fondateur, fut mis à mort par Ponce Pilate, procurateur de Judée sous le règne de Tibère: Mais la superstition pernicieuse qui fut réprimée pour un temps éclata de nouveau, pas seulement en Judée où le méfait tenait ses origines, mais aussi dans la cité de Rome.” (texte écrit en 117 APJC) Là aussi, Christ apparaît clairement et historiquement.

Durant la même période, fin du premier siècle, un autre personnage en parle. C’est Pline le Jeune, sénateur et haut fonctionnaire sous l’empereur Trajan. Il maintient avec son empereur une correspondance épistolaire. Dans l’une de ses lettres, il demande conseil à l’empereur au sujet des chrétiens. Sa question est, en résumée, : Comment dois-je châtier les chrétiens s’ils continuent à rendre leur culte à Jésus-Christ? Est-ce-qu’il faut tous les châtier de la même manière?

Ou bien encore, on peut citer Suétone, historien romain, qui écrivit vers 120 après J.C.: « Comme les juifs créaient de constantes perturbations à cause de Chrestus, il (l’empereur) les chassa de Rome… » (Vie de Claude, 25,4). Chrestus c’est bien sûr Christ…

Il y a encore d’autre citations d’historiens et d’auteurs anciens qui ont fait allusion à Christ et au Christianisme: Epictète, Lucien, Gallien, Aristide, Lampridius, Dion Cassius, Hinnerius, Libanius, Ammanius, Marcellin, Eunape, Zosime. D’autres tels que Lucien, Celse, Porphyre, Hierocles, et Julien L’apostat, y consacrèrent des livres entiers!

Et puis beaucoup d’écrivains juifs évoquèrent également Christ.
Sans aucun doute, Jésus a bien existé et il a réellement été condamné au supplice de la crucifixion par les romains. Personne ne peut nier l’historicité de ces faits.

Il est aussi certain qu’il fut mis dans un tombeau connu et accessible. Les évangiles nous rapportent que c’était à côté du mont Golgotha, dans un jardin. Pendant longtemps, la tradition a affirmé que sa tombe était à l’intérieur de Jérusalem. Et encore aujourd’hui, les pèlerinages se succèdent dans Jérusalem. Mais la Bible dit qu’il fallait qu’il meurt “hors de la porte”. C’est à dire à l’extérieur de Jérusalem.
À la fin du 19eme siècle, le général Gordon retrouve le lieu du crâne. C’est à dire un relief rocheux qui a la forme d’un crâne. Il cherche dans les tombes qui sont à proximité, et finit par en trouver une qui correspond parfaitement à la description de celle des évangiles. Pour qu’elle corresponde, ce n’était pas simple: Il fallait que ce soit: Un tombeau de riche, pour un juif, creusé dans la roche, neuf, permettant de voir à l’intérieur de l’extérieur, et permettant de s’y tenir à plusieurs, et datant bien sûr de l’époque de Jésus. Il n’y en a qu’un qui pouvait être retenu. C’est le tombeau de Jésus-Christ.

À l’intérieur, on y retrouve des signes chrétiens gravés dans la roche. Et bien sûr la tombe en question est vide depuis très longtemps.

II) Réfutation des arguments contre la résurrection.
La résurrection, parce qu’elle est le coeur de la foi chrétienne, s’est vu attaquée par beaucoup d’ennemis. Certes, Jésus a existé. Certes, il y a ce tombeau qui est sans aucun doute celui de Jésus. Mais on ne veut pas pour autant accepter la résurrection. Alors plusieurs arguments ont été avancés pour la nier.

A/ On a pensé tout d’abord que les disciples avaient pu voler le corps. Qu’ils avaient été suffisamment malin et perspicace pour monter ce plan, et faire croire en une résurrection…
Mais il faut prendre en compte que:
1. Le tombeau était gardé par des soldats armés. On sait que Rome n’était pas tendre avec ses soldats. Ils étaient aguerris et la mort les attendait s’ils faillaient dans la tâche qu’il leur était confiée. On peut donc être sûr qu’ils étaient motivés pour bien garder le tombeau.

2. Le tombeau était fermé par une grosse pierre. Le voler n’était pas quelque chose de simple que l’on pouvait faire derrière leur dos.
3. Ensuite la pierre était scellée. Les romains y avait apposé un sceau, et Rome était garant de ce sceau. Briser le sceau, c’était s’attaquer à Rome. Ces dispositions étaient justement prises pour que personne ne puisse voler le corps.

4. Et si l’on regarde les disciples de Jésus, on voit que les disciples étaient apeurés. À l’arrestation de Jésus, ils l’ont tous abandonné, ils ont fuis en courant, et ils se sont enfermés dans leurs maisons. Seul Pierre a suivi Jésus, mais il a fini par le renier tellement il tremblait d’être arrêté comme son maître. Comment un groupe de personnes si faibles devant Rome, pouvait déjouer les gardes avec un plan si parfait qu’on eu jamais retrouvé le corps? Le théologien écossais Hill, après avoir étudié le sujet de la résurrection, fit cette déclaration évidente:

“Mais si, malgré toutes les preuves, vous rejetez le témoignage, il vous faut expliquer toute une foule d’absurdités. Douze hommes de basse extraction, sans éducation, et dont le mode de vie interdisait toute ambition, auraient mis au point, sans être aidés par le gouvernement, le projet le plus noble que l’homme ait jamais conçu, employé les moyens les plus audacieux pour le mettre à exécution et l’auraient mené à bien avant tant d’habileté que l’imposture revêtit les traits de la simplicité et de la vertu. Ces hommes se seraient rendu coupables de blasphèmes et de tromperie, unis dans une même machination rusée, qui s’avéra être le meilleur moyen de rendre l’homme bon. Ils auraient conçu ce projet singulier sans rechercher le moindre avantage personnel, indifférents aux risques, mais conscients de leurs actes. Bien que chacun connaissait l’infamie de l’autre, aucun n’aurait songé à la dévoiler pour se protéger lui-même, et au milieu des pires souffrances physiques, ils seraient restés fidèles à leur mensonge qui devait apporter au monde piété, honnêteté et bonté. En vérité l’homme qui accepte tout cela n’a pas le droit de dire que les miracles n’existent pas.”

Vous en conviendrez donc, c’est impossible que les disciples aient pu monter une telle machination.

B/ On a pensé que peut-être, Jésus n’était pas mort. Qu’en fait, il aurait été mis au tombeau encore vivant, évanoui ou dans un coma léger… Mais nous lisons en Jean 19:31 “Dans la crainte que les corps ne restent sur la croix pendant le sabbat, -car c’était la préparation, et ce jour de sabbat était un grand jour, -les Juifs demandèrent à Pilate qu’on rompe les jambes aux crucifiés, et qu’on les enlève. 32 Les soldats vinrent donc, et ils rompirent les jambes au premier, puis à l’autre qui avait été crucifié avec lui. 33 S’étant approchés de Jésus, et le voyant déjà mort, ils ne lui rompirent pas les jambes; 34 mais un des soldats lui perça le côté avec une lance, et aussitôt il sortit du sang et de l’eau.” Pourquoi du sang, et surtout de l’eau sont sortis du côté de Jésus?
Il y a plusieurs raisons possibles pour qu’il y ait de l’eau dans les poumons. D’après le témoignage des médecins, la raison principale, c’est un arrêt du cœur. Quand le cœur cesse de pomper le sang dans l’aorte, ce très gros vaisseau qui est à l’origine de toutes les artères, le sang ne s’évacuant plus, il se produit une pression qui va en s’accentuant dans les veines pulmonaires. Cette pression excessive presse le sang qui produit de l’eau qui entre dans les poumons et/ou tout autour des poumons dans la plèvre. Médicalement et physiologiquement, il est évident que Jésus était décédé quand il a reçu ce coup de lance dans le côté. L’apparence d’eau sortant de son corps n’aurait pas eu lieu si le corps n’était pas mort, ou sur le point de mourir. Sans oublié qu’auparavant, il fut interrogé, battu, fouetté pendant toute une nuit. Et il est resté six heures sur la croix. Le soldat chargé de brisé les jambes des suppliciés était familier de la mort. Il n’avait aucun doute sur le fait que Christ était bien mort. Le coup de lance n’a fait que le confirmer. Puis on l’a mis dans un tombeau trois jours. Quand bien même il se serait évanoui, chose qui d’après cette description est impossible, comment aurait-il pu se relever dans son état, sanglant et affaibli à l’extrême, rouler seul la grosse pierre avec ses mains percées, et surtout, paraître ensuite devant ses disciples, victorieux, plein de vie et de force, comme ayant vaincu la mort! C’est impossible. Jésus est mort, c’est quelque chose de certain.

C/ D’autres ont dit que les femmes venues voir la tombe s’étaient certainement trompées de tombe. Mais si on examine les Ecritures, on voit qu’elles étaient présentes avec ceux qui l’ont mis au tombeau, donc Joseph d’Arimathée. Luc 23:55 “Les femmes qui étaient venues de la Galilée avec Jésus accompagnèrent Joseph, virent le sépulcre et la manière dont le corps de Jésus y fut déposé, 56 et, s’en étant retournées, elles préparèrent des aromates et des parfums. Puis elles se reposèrent le jour du sabbat, selon la loi.” Et puis il n’y avait pas beaucoup de tombeau neuf taillé dans la roche. C’était juste à côté de Golgotha et dans un jardin. Difficile de confondre!
Aussi dans l’évangile de Matthieu, nous lisons chapitre 28, verset 1, qu’elles étaient bien devant le bon tombeau où se trouvait les gardes… Il est donc impossible qu’elles se soient trompées de tombeau.

D/ On a pensé également que tous les disciples avaient pu être victime d’une hallucination. Mais une hallucination est seulement visuelle. Elle n’est qu’à un endroit, durant un moment précis. Or Jésus s’est montré durant 40 jours, à plusieurs endroits, à plusieurs personnes. Parfois ils étaient seuls, parfois plusieurs en même temps. Nous voyons Thomas incrédule qui le voit et qui le touche. Nous voyons les femmes qui veulent saisir ses pieds. Il s’est également montré à Pierre seul, et puis ensuite à 500 disciples en même temps. Les psychologues affirment que l’on ne peut avoir une hallucination de masse comme celle là. C’est impossible. 500 personnes l’ont vu en même temps… Une hallucination n’est pas possible dans ces conditions. Et puis, si les chrétiens avaient vraiment eu une hallucination, les chefs religieux et les romains, n’auraient pas eu de mal à produire le corps de Jésus pour détruire ce qu’ils disaient.

III) Les preuves de sa résurrection.
Jésus est bien mort. Il a été mis au tombeau durant trois jours. Et il en est ressorti vivant. La réfutation de tous les arguments que l’on vient de voir, est en soi déjà une preuve. Parce que rien ni personne ne peut affirmer que Jésus n’est pas ressuscité et en produire une seule preuve.

Devant l’absence des preuves contre, on peut en déduire qu’il l’est réellement.

a) Un élément très important qui constitue une preuve, c’est qu’à l’époque de Jésus, personne n’a contredit le fait de la résurrection. Les apôtres ont prêché Christ ressuscité, et personne n’a nié. Il n’y avait pas de contradicteurs!!! Si cela avait été un mensonge, les historiens de l’époque n’auraient pas manqué de dire que c’était un mensonge. Regardez les juifs qui étaient religieux. Ils étaient foncièrement contre Jésus. Les pharisiens et les zélotes. Regardez Rome qui avait été humilié en démontrant qu’ils n’étaient pas capables de garder le corps! Mais c’est le silence de tous côtés. Personne ne pouvait ouvrir la bouche et nier! Parce que les témoignages qui disaient qu’ils l’avaient vu se multipliaient. L’un à droite, “Il est vivant” l’autre à gauche. “Il est vivant” Tous les ennemis de Christ avaient la bouche fermée. Allez dire aujourd’hui que par exemple votre voisin est décédé, mais que vous l’avez vu ressuscité. Les journalistes et peut-être la police vont enquêter sur la chose, et en très peu de temps, on écrira contre vous que vous êtes menteur parce que ceci, parce que cela… Pour Jésus, tout le monde s’est tu! Il n’y avait rien à dire, parce qu’il était réellement ressuscité.

b) Autre preuve, personne n’a jamais pu produire le corps de Jésus. Pourtant c’est tout ce que souhaitaient ses ennemis. Mais il était introuvable, parce que vivant.

c) Il y a ensuite des prophéties claires sur la résurrection de Jésus. C’est encore là une preuve très forte. D’abord dans les évangiles, Jésus explique à l’avance qu’il ressuscitera…
Jean 2:19 “Jésus leur répondit: Détruisez ce temple, et en trois jours je le relèverai. 20 Les Juifs dirent: Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce temple, et toi, en trois jours tu le relèveras! 21 Mais il parlait du temple de son corps. 22 C’est pourquoi, lorsqu’il fut ressuscité des morts, ses disciples se souvinrent qu’il avait dit cela, et ils crurent à l’Ecriture et à la parole que Jésus avait dite.” C’était quelque chose qui était prévu et annoncé. Jésus disait à ses disciples qu’il mourait et ressusciterait avant que cela n’arrive.
Mais aussi dans l’Ancien Testament, sa résurrection, était une prophétie. 700 ans AvJc, Esaïe a écrit sur sa mort et sa résurrection. Esaïe 53. 8 “Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu’il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple? 9 On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu’il n’ait point commis de violence Et qu’il n’y ait point eu de fraude dans sa bouche. 10 Il a plu à l’Eternel de le briser par la souffrance… Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours; Et l’oeuvre de l’Eternel prospérera entre ses mains.” C’est ici une preuve claire que sa mort et sa résurrection étaient annoncées par Dieu, bien avant que cela n’arrive. Nous avons lu, qu’on met son tombeau avec le riche….. et il est dit: “Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, il verra une postérité et prolongera ses jours…” C’est la résurrection. Si nous sommes tous obligés de reconnaître que cette prophétie s’est bien accomplie concernant sa mort, c’est évident, nous n’avons pas le droit de douter concernant sa résurrection!!!

d) On peut voir également une preuve de sa résurrection dans la transformation des disciples. Nous avons dit qu’à la crucifixion, ils étaient apeurés. Tremblants. Craintifs. Incapables de réagir. Mais il va s’opérer une transformation radicale dans leur caractère. Quelque chose qui va leur donner des ailes. Regardez dans le livre des Actes, on retrouve Pierre, prêchant avec zèle la résurrection, alors qu’il était un lâche qui devant l’accusation d’une femme s’était fait tout petit. Mais ici il est plein d’audace. Actes 2.14 “Alors Pierre, se présentant avec les onze, éleva la voix, et leur parla en ces termes: Hommes Juifs, et vous tous qui séjournez à Jérusalem, sachez ceci, et prêtez l’oreille à mes paroles!” Pierre se met donc à prêcher, à la foule de juifs venue à Jérusalem pour la fête de la moisson, fête de la pentecôte. Ils étaient là par milliers. Et regardez ce qu’il dit sans aucune honte V22 “Hommes israélites écoutez ces paroles! Jésus de Nazareth, cet homme à qui Dieu a rendu témoignage devant vous par les miracles, les prodiges et les signes qu’il a opérés par lui au milieu de vous, comme vous le savez vous-mêmes; 23 cet homme, livré selon le dessein arrêté et selon la prescience de Dieu, vous l’avez crucifié, vous l’avez fait mourir par la main des impies. 24 Dieu l’a ressuscité, en le délivrant des liens de la mort, parce qu’il n’était pas possible qu’il soit retenu par elle.” Auparavant il était tremblant, mais ici, il ose affronter tous les chefs religieux et tous les juifs devant lui. Il proclame avec assurance: “Dieu a ressuscité Jésus-Christ” .Pour qu’il y ait une telle assurance et un tel changement d’attitude, il fallait qu’il l’ait vu en personne. Il n’y a que ça qui pouvait le transformer à ce point.

e) Ensuite, l’abandon du sabbat pour le premier jour de la semaine, est encore une autre preuve. Des milliers de juifs ont cessé de pratiquer le sabbat, pour se réunir le dimanche matin, et chanter des chants sur la résurrection. Il eut été impossible pour un juif, qu’il puisse abandonner le troisième commandement de Moïse concernant le sabbat, s’il n’avait pas été marqué par quelque chose d’aussi fort que la résurrection. La loi de Moïse était le coeur de leur vie religieuse. Mais en quelques jours, tous les juifs devenus chrétiens ont mis de côté le sabbat…

f) Autre preuve. C’est l’abnégation complète des disciples pour prêcher cette résurrection. Ils n’ont pas fait cas de leur vie! Paul little a dit: {“L’homme mourra pour ce qu’il croit être vrai, même s’il se trompe. Mais il ne mourra jamais pour ce qu’il sait être un mensonge.” La plupart de disciples de Christ sont morts pour lui. Selon les historiens et la tradition, pour Jésus ressuscité, Pierre a été crucifié la tête en bas. André a été crucifié. Jacques, fils de Zébédée a été tué par l’épée. Jean est mort d’une mort naturelle, mais il fut persécuté et exilé par Domitien. Philippe fut crucifié. Tout comme Barthélémy. Thomas fut transpercé par une lance. Matthieu fut tué par l’épée. Jacques, fils d’Alphée, fut crucifié. Thaddée fut percé par des flèches. Simon le zélote fut crucifié. Paul fut décapité. Et à leur suite, des milliers de chrétiens subirent le bûcher, ou furent déchirer par des lions. Parce qu’ils affirmaient que Jésus était ressuscité. Ils le croyaient tous avec certitude, sinon ils n’auraient pas accepté d’y laisser leur vie.

g) Enfin, l’existence de l’Église est une preuve de la résurrection. Les empereurs de Rome voyants qu’ils ne pouvaient enrayer les conversions par milliers à Jésus-Christ, mort et ressuscité, ils ont décidé de persécuter les chrétiens dans tout l’empire. Et plus la persécution était vive, plus les conversions se multipliaient. Et l’Église de Jésus-Christ a alors pris un essor sans précédent durant les trois premiers siècles, non pas par la force et l’épée, mais par l’amour et le témoignage. S’il y avait eu la moindre preuve contre le résurrection, le moindre doute quand à son authenticité, le plus petit témoignage démontrant qu’il s’agissait d’un mensonge, il n’y aurait plus aujourd’hui d’Église.
Et ce n’est pas pour rien, que Dieu a permis que nous soyons en 2005 Après Jésus-Christ! Dieu a coupé l’humanité en deux. Et tous, croyants, incrédules et athées, nous sommes en 2005 Après Jésus-Christ. Il y a un avant, et un après la résurrection.

Beaucoup d’hommes ont voulu s’attaquer à la divinité de Jésus-Christ et à la résurrection, mais ils ont fini par capituler. Parce que si l’on cherche honnêtement la vérité, on ne peut que reconnaître qu’il est vraiment ressuscité.
Simon Greenleaf, professeur de droit à Harvard de 1833 à 1848, qui pouvait se glorifier du titre du plus grand spécialiste des preuves légales de toute l’histoire. En ayant examiné minutieusement toutes les faits, l’histoire, et les lois scientifiques, il n’a pu qu’être convaincu de la véracité de la résurrection. Frank Morison, homme de loi britannique, a voulu écrire un livre contre la résurrection. Mais après avoir fait des recherches, il est arrivé lui aussi à la conclusion que c’était la vérité. Son livre s’intitula “Qui a transporté la pierre?” Et au lieu d’attaquer la résurrection, il présente une liste de preuves. Le premier chapitre de ce livre s’intitule: “Le livre qui refusait de se laisser écrire…” Lew Wallace fut aussi dans son cas. Il entreprit d’écrire un livre pour nier la divinité et la résurrection. Et le résultat, c’est un merveilleux livre qui donna par la suite un film, “Ben Hur”, A l’issue de ses recherches, Wallace proclame au contraire que Christ est véritablement Dieu incarné, mort pour nous, puis ensuite ressuscité d’entre les morts.
Personne ne peut nier cette vérité. Rien ne s’oppose à elle.

J’aimerais prendre un dernier versets pour conclure:
Jean 11.25-26 “Jésus lui dit: Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s’il meurt; et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela?”
Où en êtes-vous ce matin? Est ce que vous croyez cela? Jésus est mort pour vous. Et il est ressuscité trois jours après, proclamant ainsi qu’il avait vaincu la mort. Nous n’avons plus à craindre la mort si nous voulons croire en lui. “Quiconque vit et croit en Lui maintenant, pendant cette vie, il ne mourra jamais…” Mais il ressuscitera pour vivre éternellement avec Dieu.

On ne veut pas penser à la mort. Souvent on fuit la pensée parce qu’elle nous effraye. Ou on souhaite afficher une façade d’indifférence face à elle. Ou bien on souffre en y pensant, parce que l’on a perdu des êtres chers. Jésus nous dit que c’est aujourd’hui, pendant que nous sommes vivants qu’il faut saisir l’espérance qu’il nous donne. Au jour de notre mort, il sera trop tard. Il nous demande de croire en lui de notre vivant.
Il est écrit dans la Parole de Dieu: “Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton cœur que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé.” Dieu nous demande deux choses. Est-ce-que vous le croyez aujourd’hui? Si vous le croyez, vous pouvez être sauvés. Dieu veut vous sauver. Mais il faut croire en son Fils. Croire tout ce qu’il a fait pour vous. Confessez de la bouche le Seigneur Jésus, c’est à dire prenez position pour lui, publiquement. Reconnaissez vos péchés et acceptez le. Comme les apôtres, comme tous les premiers chrétiens. Et vous serez sauvés.

Les impossibilités de Dieu !

Les impossibilités de Dieu !

Impossible à Dieu ?

Rien n’est impossible à Dieu, dit-on ! N’est-il pas le Tout-Puissant, celui qui fait ce qu’il veut, quand il veut, où il veut ? La Bible présente pourtant 3 choses qui sont pour Dieu du domaine de l’impossible !

1ère impossibilité : sauver un incrédule:

Nous le sommes tous par nature. Dans la culture rationaliste qui est la nôtre, les athées sont comme des poissons dans l’eau. Ils se rassurent mutuellement : qui est assez niais en 2012 pour croire en Dieu ?

La Bible dit que c’est celui qui a perdu le bon sens qui nie que Dieu existe. Sur le plan de la raison et des probabilités, il y a beaucoup plus de chance que l’univers soit le produit d’un Créateur intelligent que le fruit du pur hasard. La foi en Dieu nécessite de mettre de côté le prêt-à-penser soit disant moderne dans lequel les occidentaux, en particulier, s’enferment.

Croire que Dieu existe ne suffit pas pour le connaître. Encore faut-il prendre au sérieux le témoignage qu’il a donné de lui-même dans l’histoire. On ne peut connaître de Dieu que ce qu’il veut bien montrer de lui. A ce sujet, nous ne sommes pas dépourvus d’indications.

La Bible qui a traversé les siècles et Jésus-Christ sont les témoignages éloquents de Dieu. Jésus est l’image même de Dieu, l’empreinte de sa personne, l’expression exacte de sa réalité. Prenez-le temps d’examiner les faits, de vous faire une opinion solide sur Jésus. Dieu fait dépendre dans la Bible votre salut éternel de lui. C’est tout ou rien ! Il serait dommage, par négligence, paresse ou conformisme de passer à côté du Merveilleux ! Rappelez-vous : la foi ne naît pas par miracle ! Elle vient de ce qu’on entend, du témoignage rendu ! Prenez et lisez !

2ème impossibilité : mentir

La Bible l’affirme à plusieurs reprises : Dieu ne peut mentir. C’est une impossibilité liée à sa nature. Parce qu’il en est ainsi, il est le seul point de repère fiable de l’univers. Il est aussi le mètre étalon de toutes les valeurs qui existent. En matière de justice d’abord. On sait combien les lois humaines fluctuent, changent selon les modes, les lieux, les cultures, les influences. Dieu, lui, ne change pas. ce qu’il dit était vrai hier, l’est aujourd’hui, le sera demain. Le mal n’est pas ce que la majorité décide, mais ce que Dieu désigne comme tel. Il est beaucoup plus grave que tout ce que nous pouvons concevoir.

Le fait que Dieu ne ment pas est à la fois effrayant et rassurant. Effrayant pour celui qui, tel le caméléon, s’adapte au monde environnant pour établir ce qui est normatif ou pas. Dieu ne relativise jamais. Il pense les choses en fonction de sa nature exempte de toute ombre de variation. Rassurant pour celui qui fait confiance à Dieu, ses promesses. Dieu ne saurait faire défaut, être une source décevante. Il ne peut se renier lui-même. Ce qu’il promet, il le tient sûrement. Il sauvera tous ceux qui croient en Jésus-Christ et en la valeur de sa mort pour leur rachat.

3ème impossibilité : tout pardonner

Cela vous surprend sans doute. Mais je ne dis pas ici autre chose que ce que Jésus lui-même a dit. Dieu pardonne tout, sauf une chose : le péché contre le Saint-Esprit. Qu’est ce ? Jésus a dit cette parole à une catégorie d’hommes bien précise : les pharisiens. Il l’a dit au sujet d’une parole précise. Ceux-ci disaient de lui qu’il avait partie liée avec les démons. Jésus a alors épinglé avec sévérité leur malhonnêteté. « On reconnaît l’arbre à son fruit, leur a-t-il dit. Si le fruit est bon, l’arbre l’est aussi. Si le fruit ne l’est pas, l’arbre non plus. »

Le péché contre le Saint-Esprit est celui de ceux qui savent pertinemment où se trouve la vérité, mais qui, délibérément, choisissent de la nier ou de la refuser. Ils ne sont pas ignorants, mais éclairés. Ils ont été acculés au devoir de choisir. Ils ont choisi de la refuser. S’ils persévèrent dans cette attitude, Jésus l’affirme : c’en est fait d’eux. Il n’y a plus de recours possible, ni de grâce. Le pardon n’est efficace que pour ceux qui reconnaissent leurs fautes, leurs erreurs. Pour les autres, il n’y a qu’une attente : celle du jugement définitif et irrévocable de Dieu.

Peut-être y a-t-il encore d’autres choses qui sont du domaine de l’impossible pour Dieu ! Ces trois là sont suffisantes pour provoquer en nous une crainte salutaire. Or, la crainte de Dieu est le commencement de la sagesse ! Puisse-t-elle vous habiter cette année !

Une image du chrétien de nom A quoi ressemble la profession de piété du chrétien de nom ? Elle est comparée ici à un jonc qui sort du marais, à un roseau qui fleurit dans les eaux. Cette comparaison comporte plusieurs points : 1. La religion du faux chrétien peut être comparée à un jonc par la rapidité avec laquelle elle se développe. Il y a des conversions instantanées : celles de Saul, sur le chemin de Damas, celle du geôlier de Philippes, quand soudainement réveillé il s’écria : « Que faut-il que je fasse pour être sauvé ? » Mais le développement intérieur des chrétiens n’est pas tout à fait si rapide. Des jours de dépression profonde refroidissent leur joie ; de furieuses tentations troublent leur paix ; leur vis spirituelle est mise en échec et ils connaissent la douleur. Rien de pareil chez le chrétien de nom. Une fois qu’il a fait profession d’être converti, le sentier pour lui est facile. Il ne connaît pas les soupirs des autres sur leur corruption intérieure ; quand les vrais croyants parlent de luttes contre leur vieille nature, il en est étonné… Mauvais signe, cher ami, si tu n’as jamais sondé ton cœur avec anxiété pour t’assurer qu’il ne te trompe pas.. ; Comme le jonc sur le bord des eaux, le chrétien de nom pousse et fleurit promptement… la maison du pharisien, quoique bâtie sur le sable, peut se tenir ferme sans bouger, jusqu’à ce que l’inondation survienne ; mais la destruction en sera terrible, parce que les fondations n’ont coûté aucun travail. 2. Le jonc est une plante creuse, vide et molle. Quiconque n’en connaîtrait pas la nature croirait pouvoir s’en servir comme d’un bâton solide ; mais celui qui s’appuierait dessus tomberait certainement. Il est beau aux yeux, mais sans force. Il en est de même du faux chrétien. Il peut être de belle apparence, mais il n’y a en lui ni foi ferme, ni repentance véritable, ni union intime avec Jésus. Chers amis, quel serait notre sort, si quelques-uns d’entre nous devaient être trouvés creux comme des jonc du marais, quand Dieu viendra juger le monde ! C’est pourquoi, ayez autre chose qu’une simple profession de foi. Ne soyez pas comme le jonc spongieux et mou. Prenez-donc garde de n’avoir que la forme extérieure de la religion, et d’être intérieurement vide et creux comme un jonc. 3. Une troisième remarque que suggère le jonc, c’est qu’il a, comme le chrétien de nom, la propriété de se courber. Si le vent souffle du Nord, il s’incline vers le Midi ; si la tempête vient du Midi, il se penche vers le Nord. Le faux chrétien se courbe de même. Il cède à la bonne influence d’une bonne société ; mais il reçoit aussi facilement celle d’une mauvaise compagnie. Il est de toutes les opinions religieuses suivant les circonstances. Le vicaire de l’église de Bray était catholique sous Henry VIII, protestant sous le règne suivant ; de nouveau catholique sous Marie Tudor, il redevint protestant sous Elisabeth et déclarait, malgré cela, avoir toujours été d’accord avec lui-même – et c’était vrai ; car son but était sa position temporelle. De telles girouettes n’ont pas un atome de l’étoffe dont on fait les martyrs. Vos principes religieux sont sans valeur si vous ne pouvez pas les conserver partout avec vous, et s’ils ne sont pas votre plus cher trésor. 4. Le jonc ne porte aucun fruit. Personne ne s’attend à trouver des figues sur un jonc, ni du raisin sur un roseau. Il en est de même du chrétien de nom. Il ne porte pas de fruit. Le faux chrétien peut juste dire : « Je ne m’enivre pas, je ne jure pas, je ne fraude plus, je ne mens pas, je ne travaille pas le dimanche. » Sa religion est toute négative, le côté positif lui manque. Qu’a-t-il fait pour le Christ ? Peut-être a-t-il donné quelque argent comme aumône ; mais l’a-t-il fait pour Dieu ? Y a-t-il dans sa vie quelque chose qui serve Christ ? Il l’a prié ; mais est-ce pour satisfaire sa conscience ou pour plaire à ses auditeurs ? Si c’est pour la gloire de Dieu et afin d’avoir communion avec Lui, il n’est pas chrétien de nom ; car celui-ci ne connaît pas les fruits de la repentance ; il ne recherche pas la sainteté, ni la communion avec Christ, en qui il n’a aucune plaisir. Il n’a ni foi, ni joie, ni espérance, ni aucune ressemblance avec le Maître, il est sans fruit. C’est pourquoi il est comme le jonc et non comme une plante que la main droite du Seigneur a planté.

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