Meilleurs voeux

MEILLEURS VŒUX POUR

2016!

 

Les années passent les unes après les autres, et au début de chacune d’elles, nous nous demandons :« Que nous apportera celle-ci ? » En fait, nous n’en savons rien, car l’avenir ne nous appartient pas. Dieu seul le sait. C’est pourquoi j’invite ceux et celles qui ne l’ont pas encore fait à mettre leur pleine confiance en Lui. Lui seul connaît bien mieux que nous nos besoins qu’il peut et veut combler si, bien sûr, nous lui faisons confiance. Ces besoins sont très variés et nombreux : pour les uns, ce sera de l’argent, un travail, une situation meilleure ; pour d’autres, ce sera le bonheur dans le foyer, une entente conjugale ; pour d’autres encore, celui d’une meilleure santé… « La santé, c’est le principal ! » entendons-nous souvent en ce début d’année. 

 

Savez-vous qu’il est des besoins plus grands encore, plus élevés, non pas d’ordre matériel ni physique, mais d’ordre spirituel et qui sont ceux de tous les  humains sans exception ? Que vous le réalisiez ou non, votre être tout entier soupire après quelque chose de meilleur, de plus solide, de plus durable. Vous avez besoin de paix, de repos, de vrai bonheur, de  la vie éternelle. Tout cela, Dieu vous l’offre gratuitement dans la Personne de Jésus Christ. Vous avez besoin de paix :

la paix de votre conscience quant  à vos péchés. Vous n’êtes pas libre et vous êtes mal à l’aise sous le regard du Dieu saint et juste. Il est aussi le Dieu d’amour qui a donné son Fils unique. « Lui a fait la paix par le sang de sa croix » (Colossiens 1 v.20). Croyez en Jésus mort  pour vos  péchés, et vous aurez la paix avec Dieu et, par conséquent, la paix du cœur. 

Vous avez besoin de repos :

« Venez à moi, dit Jésus, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés, et moi, je vous donnerai du repos. » (Matthieu 11 v.28). Venez à Jésus qui, à la croix, s’est chargé du poids de vos péchés de sorte qu’en croyant vous connaissiez le repos de votre conscience.

   

             Votre âme immortelle a besoin de vie éternelle.

 

La Bible nous dit: « Celui qui croit au Fils de Dieu a la vie éternelle » « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3 v.36 et 16) Le “quiconque”, c’est qui que ce soit, donc vous, cher lecteur, chère lectrice.   Une nouvelle année en remplace une autre. Savons-nous si Dieu nous accordera d’en voir la fin ? On n’est même pas sûr du jour de demain (Jacques 4 v.14). Ne voulez-vous pas accepter maintenant, par la foi, Jésus comme votre Sauveur ? Votre besoin de paix, de repos, de vrai bonheur sera alors amplement comblé. Pas seulement pour un jour ou une année, mais pour toute la vie. Pas seulement pour cette vie présente, terrestre, mais aussi celle qui est à venir, au-delà de la mort. Connaître Jésus comme Sauveur, c’est avoir la vie éternelle, et une vraie relation avec Dieu, sûre espérance et guide de notre vie.

 

Plus que des vœux, c’est la prière instante que nous adressons à notre Dieu pour chacun des lecteurs qui ne Le connaissent pas comme leur Dieu Sauveur.

Si tu veux le bonheur, Le vrai bonheur,

Laisse entrer Jésus dans ton cœur!

Tes péchés il efface, Il te fera la grâce,

De transformer ton être entier

Pour régner sur ton coeur,

Si tu veux le bonheur, Le vrai bonheur,

Meilleurs vœux à tous, que notre Seigneur vous bénisse en Christ

Fabrice

Comment retrouver le chemin qui conduit à Dieu ?

Comment retrouver le chemin qui conduit à Dieu ?

Le problème est là, comment rétablir le contact avec lui, comment réintégrer la sécurité du troupeau, qui appeler et à qui se confier ?

Et c’est ainsi que nous arrivons tout doucement à notre deuxième personnage, il y avait la brebis et maintenant il y a

Le mercenaire, celui qui loue ses services.

Le mercenaire c’est celui qui a l’apparence du vrai, du bon berger. Il semble en remplir les fonctions mais il ne se dévoile qu’en face du danger. Je voudrais vous poser une question : à qui, à quoi avez-vous confié ce que vous avez de plus précieux au monde, c’est-à-dire le salut de votre âme ?

Quelqu’un va me dire :  » mais moi je ne me sens pas en danger « . Permettez-moi d’insister : A quoi avez-vous confié votre salut ?

A quel mercenaire avez-vous confié, je me répète, le salut de la chose la plus précieuse du monde ? La Bible dit : que donnerait l’homme en échange de son âme ? Si vous la perdez, vous perdez tout . Et pour toujours et pour l’éternité, c’est une affaire sérieuse. Alors à quel mercenaire avez-vous confié votre salut éternel ?

Si vous aviez de l’argent à placer quelque part, pour avoir des rentrées, est-ce que vous vous contenteriez de le placer, par exemple, sur des hypothèques de deuxième rang ou de troisième rang, dont vous ne seriez pas sûr d’avoir ni les intérêts, ni même de revoir un jour le capital ?

Est-ce que vous vous contenteriez de placements douteux, bien sûr que non ? Et votre âme, elle, vaut mieux et plus que tout l’argent du monde.

Si vous voulez un diplôme pour entrer dans la vie active, allez-vous, vous les jeunes, vous contenter d’un vague diplôme décerné par des cours par correspondance qui vous garantissent les plus brillants succès après trois mois d’étude sans effort ? Non, bien sûr, il faut un diplôme reconnu par l’Etat ou son équivalent. Eh! bien nous, il nous faut un salut que Dieu puisse agréer, et non pas n’importe quel vague petit salut issu de nos fantaisies.

Et ce salut, il porte un nom, c’est celui dont je parle dans cette brochure et dont je parlerai jusqu’à mon dernier souffle : c’est Jésus-Christ.

C’est ce que l’apôtre Pierre dira dans le livre des Actes chapitre 3 verset 11 :  » Sous le ciel, il ne nous a été donné aucun autre nom par lequel nous puissions être sauvés « , et le Seigneur Jésus, a dit :  » Je suis le chemin, la vérité, la vie, nul ne vient au père que par Moi « .

Si bien que si vous vous confiez dans votre religion particulière, fut-t-elle la mienne, dans votre système de morale, dans vos bonnes œuvres, dans vos efforts ou en quoi que ce soit en dehors de Jésus-Christ vous êtes sous la garde d’un mercenaire. Il a peut-être bel apparat, il est peut-être dûment mitré, crossé, avec des titres ronflants de Monseigneur ou Son Eminence, au jour du jugement ce mercenaire-là en aura bien assez à répondre pour lui-même, pour qu’il puisse rien faire pour vous.

Noël : c’est la fête

Noël : c’est la fête

Depuis plusieurs jours retentissent à nos oreilles, dans les magasins, ces chants qui marquent l’époque de Noël. Les rues s’illuminent, les vitrines se parent de mille cadeaux plus tentants les uns que les autres ; et que dire de toutes ces propositions alléchantes aux devantures des traiteurs ?

Noël, fête de la lumière, fête de la joie, de la famille, des enfants, mais aussi fête qui souligne parfois d’une manière criante les différences sociales, la misère et la solitude de certains par rapport à l’abondance et au gaspillage des autres. On se sent beaucoup plus seul que le reste de l’année un jour de Noël. Je le sais car j’ai vécu moi-même ce genre de solitude.

Une fête dont nous oublions facilement le sens réel, profond, spirituel en sacrifiant aux traditions humaines.

Il y a 2000 ans environ, naissait à Bethlehem celui dont les prophètes avaient, de longues années à l’avance et avec de nombreux détails, annoncé la venue. Comment reconnaître dans ce  » petit enfant emmailloté et couché dans une crèche  » (Évangile de Luc chapitre 2 verset 12) celui qui devait être appelé, selon Ésaïe le prophète, chapitre 9 verset 5  » Admirable, conseiller, DIEU puissant, père éternel, prince de la paix.  » c’est-à-dire  » Emmanuel : DIEU avec nous. » (Évangile de Matthieu chapitre 1 verset 23)

Saisissons-nous toute la portée de cet événement dont personne ne conteste l’historicité ? DIEU prenant, en JESUS-CHRIST, la forme d’un petit enfant pour venir vivre et mourir au milieu des hommes ? Noël, un conte de fées ? Non, c’est plus que cela, c’est une réalité merveilleuse, si extraordinaire que je ne puis ni la comprendre ni la raisonner. Je suis sans explications devant ce qui est pour moi à la fois un mystère et une réalité. L’apôtre Paul écrira plus tard aux Corinthiens (Première épître aux Corinthiens chapitre 5 verset 19) :  » DIEU était en CHRIST, réconciliant le monde avec lui-même  » exposant ainsi tout ce que cette intervention pouvait nous apporter.

Ceux qui reconnaissent en JESUS leur Seigneur et leur Sauveur, deviennent de nouvelles créatures. Leur vie est transformée, changée. Nicodème, le docteur de la loi dont nous parle l’évangile de Jean dans son troisième chapitre, s’est demandé bien avant nous comment cette chose était possible.

Vous qui allez fêter Noël, qui est JESUS pour vous ? Seulement le petit enfant de la crèche que l’on oubliera en remisant les guirlandes de l’arbre de Noël ou est-il votre ami, votre compagnon de tous les jours ?

Voulez-vous mieux le connaître ?

Joyeux Noël à tous

Fabrice

Mon témoignage

cropped-cropped-fabrice-sur-la-place-du-baty4.jpgMon témoignage

Je suis né à Saint Michel près d’hirson , J’ai passé une partie de mon mon enfance à FUMAY (ARDENNES) et à Anor (Nord) Mon père travaillait comme comme ouvrier   métallurgiste  .( il trimait pour faire vivre la famille (8 enfants)

Dès mon plus jeune âge ,je me posais des questions : Dieu existe-t’il ? Qu’est ce-que je fais dans ce monde ?

Je n’en parlais à personne mais cela me perturbais

Musique Anor sortie avec copain fête , et beuverie , boire m’ aidait surmonter ma timidité

mais ça ne dur qu’un temps j’avais toujours un grand vide en moi un grand vide,que rien ne pouvait combler

Mariage puis divorce 4 ans après chacun à ses torts, mais nul doute que je n’ai pas été le  mari et le père .que j’aurais du être pour ma femme et mes enfants .

Un jour un autocollant sur l’arrière d ‘une voitureen alsace m’interpella : (Jésus est vivant)

:Question qu’est ce-que cela veut dire je ne comprenais pas !

cette phrase revenait sans cesse à mon esprit : « JESUS EST  VIVIANT » 

Coïncidence je suis embauché en usine à Fourmies je rencontre avec Francis Aschbacher, Il me parle de Jésus , non seulement il est vivant , tu peux également lui parler et lui demander de changer ta vie ( Je l »écoute pas plus )

VOL COFFRE FORT : 15 mois de prison au lieu de 7 ou 8 ans, parce que j’ai emmené le coffre sans l’ouvrir sur place ( c’est à dire vol qualifié)

JE CRIE A DIEU RAS LE BOL DE CETTE VIE

Un matin assis sur mon lit je cris à Dieu : Seigneur change ma vie , seul je n’y arrive pas ! Au moment même , je veux me lève , je vacille et tombe C’est L’AVC massif , paralysie gauche ( pronostic neurologue ( je ne remarcherais certainement plus!)

VIE DIFFERENTE

Aujourd’hui J’ai 60 ans je ne ne marcherai plus comme avant mon état intérieur a changé (je ne suis plus seul, le vide qui était en moi a disparu .

1992 RENCONTRE VIVIANE MAISON DE REPOS ( cause dépression ) Mariage en 1993, Ma vie a vraiment changée depuis, des ténèbres je suis passé à la lumière cette lumière : C’est Jésus .

Joyeux Noël à tous !

Fabrice

Dieu existe

Dieu existe
Dieu existe-t-il ? Nombreux sont ceux qui ont tenté de « prouver » l’existence de Dieu. Des théologiens comme Anselme de Cantorbery ou Thomas d’Aquin mais aussi des philosophes comme Descartes ou Spinoza s’y sont essayés.
Le premier problème de l’homme face à Dieu c’est qu’il tente de saisir par sa raison ce qui la dépasse. Car Dieus’il existeest celui qui donne au monde sa réalité : il en est le principe et la raison d’êtrel’origine et la destinée. En tant que telil ne fait pas partie de la réalité qu’il détermine ! Il est donc raisonnablement insaisissableet à ce titre l’intelligence humaine ne pourra jamais prouver ni son existence ni sa non existence. Dieu est à la fois hypothétique et certain : nous sommes coincés !
De là découle un deuxième problème : Dieu est à la fois personnel et universel. Personnel car chacun face à l’insaisissable tente quand même de le saisir dans sa culture et son histoirec’est à dire dans une tradition (plus ou moins transformée selon les individus). Universel car Dieu pointe toujours vers un absolu qui dépasse l’idée qu’on s’en fait.
Surgit alors un troisième problème : comment peut-on parler de Dieu ? S’il est à la fois proche et lointainpersonnel et universel la difficulté pour parler de lui est immense : en effet je ne pourrais parler que de ma propre conception de Dieu que je maîtrise parce qu’elle vient de moi-mêmealors qu’au fond je souhaite parler du Dieu universel qui m’est extérieur et que je ne peux maitriser.
A cause de ces problèmes qui relèvent finalement de la finitude humaine tentant vainement de saisir l’infini divinnous avons le choix : soit nous mettons notre confiance en Dieuce qui peut aller jusqu’au martyrsoit nous nous moquons de Dieu (ouvertement ou par indifférence) ce qui n’implique visiblement aucune punition foudroyante (Psaumes 733-5).
Pour sortir de l’ornièrenous n’avons qu’une solution : passer de la philosophie à la théologiepasser de la raison à la foi.
En effetce qui chez lui est invisible — sa puissance éternelle et sa divinité — se voit fort bien depuis la création du mondequand l’intelligence le discerne par ses ouvrages
Romains 120 – NBS

Masi passer de la raison à la foi n’implique pas qu’il faille abandonner la raison (comme le suggérait le philosophe danois Søren Kierkegaard). En « contemplant » la nature c’est à dire ce qui existeà travers une promenade du dimanche ou avec des outils scientifiqueson peut savoir qu’il y a un Dieu. Ce n’est pas encore la foi mais un premier pas vers elle en ce sens que la contemplation de la création devrait nous pousser à vouloir en savoir plus sur Dieuc’est à dire à chercher Dieu. Mais celui qui s’en arrête à la contemplation de la nature et qui veut s’en contenter a toute les chances de ne pas comprendre qui est Dieu (cf Romains 121-23).
Alors comment chercher ce Dieu dont on perçoit l’existence à travers la création mais qu’on ne peut pas connaître réellement avec notre raison humaine ? Dans le premier chapitre de l’épître aux romains (v16-17)mais aussi dans d’autres lettres conservées dans la Biblel’apôtre Paul exhorte à contempler non plus la naturemais l’Évangilec’est à dire la bonne nouvelle de Jésus-Christ. L’évangile de Jean fait de même :
Personne n’a jamais vu DieuDieu Fils uniquequi est dans le sein du Pèrenous l’a dévoilé
Jean 118 – TOB

L’évangéliste ne cherche pas à prouver que Dieu existe par des arguments philosophiques (et encore moins scientifiques). Il explique que celui qui révèle Dieu c’est Jésus-Christ Fils de Dieu. Nous avons alors la réponse à notre question : connaître Dieu c’est connaître Jésus-Christ Fils de Dieu. A travers sa vieson enseignementsa passionsa mort et sa résurrectionil est celui qui nous parle de Dieu bien plus : il est la Parole de Dieu (Jean 114).
Or la source de connaissance (intellectuellespirituelleémotionnelle) que nous pouvons avoir de Jésus-Christ se trouve dans la Bible.
Mais peut-on faire confiance à Jésus ? Nous avons vu que l’ambiguïté de l’existence de Dieu induite par la finitude humaine pouvait créer une conception de Dieu personnelle. Comme nous sommes nombreux sur terre à réfléchir à Dieuil en résulte de nombreuses religions et au sein même des religions de nombreuses façons de voir Dieu.
Il n’y a qu’une façon d’en être réellement et pleinement convaincu :
Jésus leur répondit : « Mon enseignement ne vient pas de moimais de celui qui m’a envoyé. Si quelqu’un veut faire la volonté de Dieuil saura si cet enseignement vient de Dieu ou si je parle de moi-même.
Jean 716-17
La seule manière de savoirc’est d’expérimenter. Un peu comme dans la méthode scientifique en quelque sorte : on essaie et on voit si ça marche… Ce n’est qu »ainsi que nous pouvons donner notre confiance à Dieutout comme un nourrisson donne sa confiance à ses parents qui prennent soin de lui depuis sa naissancenous devons apprendre à faire confiance à Dieu. La foi est un apprentissage spirituel qui ne tombe pas du ciel. Pas besoin d’apparition ni de miracle (1Corinthiens 122-23). La foi c’est la décision de placer sa confiance en Dieu. Souvent cette décision se prend après avoir tenté d’avoir confiance en soi-mêmece qui dure un temps parfois longtempsmais jamais au delà de la durée d’une vie humaine ! Quelle que soit notre force de caractèrenous ne pouvons vaincre le monde par une force humaine.
tout ce qui est né de Dieu est vainqueur du mondeet la victoire qui a vaincu le mondec’est notre foi.
Qui est vainqueur du mondesinon celui qui croit que Jésus est le Fils de Dieu ?
1Jean 54-5 – TOB

Selon ce passagela foi vient de Dieu. Sans Dieu il n’y a pas de foi. Mais elle vient aussi de nous même. Deux solutions s’offrent a nous : soit nous sommes divinset nous plaçons notre foi en nous-mêmesmais comme nous ne pouvons vaincre le monde (et la mort cf 1Jean 511-12) ce n’est pas envisageablesoit nous ne sommes pas divinet alors la foiau lieu d’être une croyanceune pensée ou une idée est en fait une rencontre.
Saurez-vous relever le défi en prenant la décision de mettre Dieu au défi de gagner votre confiancec’est à dire de vous donner la foi ?