Cette chose et de moi.

FABRICETous ceux Qui appartiennent au peuple du seigneur sont quelquefois écrasés de responsabilité est chargé de souci. Sous ce joug de soucis, nous nous demandons pourquoi nous n’avons plus la joie et la paix qui naguère enrichissaient nos vies. Est ensuite, en dépit de nos soucis, quelque chose va mal et nous nous sentons détruits spirituellement. Dans notre détresse nous nous tournons vers le seigneur, qui par sa parole nous dit : cette chose et de moi. Je dédie constamment que tu devrais te décharger sur moi de tous les soucis, car je suis parfaitement capable de prendre la responsabilité de l’issue heureuse de chaque service que je t’ai demandé de me rendre (1 Pierre 5. 7) non seulement je veux que tu vérifies ma volonté concernant toutes les affaires de ta vie consacrée, mais en faisant cela, que tu me laisses responsables de l’issue. Alors tu auras la paix et la joie dans le Saint Esprit, car il saura que grâce à ma toute-puissance et à mon infinie sagesse, il n’y a pas de situation trop difficile pour moi à gérer. Mais aussi, l’issue de chacune de tes expériences et le résultat de chacun de tes efforts pour me servir ne sont peut-être pas ceux que tu souhaiterais ; mais tu peux être confiant que sous ma providence, toutes choses concourent à ton bien et à ma gloire.

Chaque véritable enfant consacré de Dieu et désireux de le servir, ainsi que son peuple par tous les moyens possibles. Ceux qui ne désirent pas être actifs à son service devraient plutôt douter du bien-fondé de leur consécration. Cependant, pour beaucoup, les opportunités de services semblent un peu limitées. Nous aspirons à faire plus pour le seigneur que ce que nous faisons ou avons l’opportunité de faire. Cela peut être par manque de force physique ; mais cela peut être aussi du aux obligations à l’égard de ce dont le seigneur me demande de prendre soin ; cela peut être enfin je impossibilité financière, où d’autres handicaps. Bien que nos cœurs aspirent à faire davantage pour le seigneur, nous demandons-nous pourquoi nous sommes privés de d’opportunité ! Dans ce type d’expérience aussi, le seigneur peut tout aussi bien dire : cette chose et pour mois’’Je connais ton désir de faire de grandes choses pour moi, et cependant j’ai permis que tu sois couché sur la vie de faiblesse et de souffrance, parce qu’il y a une leçon en cela qu’il est essentiel que tu connaisses. Au fond de ton cœur, pourquoi es-tu si désireux d’être actif à mon service ? Ton motif est-il entièrement l’amour pour moi, pour les frères, et pour tous ceux que ta main peut bénir par le ministère de la vérité ? Il est bon que tu t’examines très attentivement sur ce point. Et il n’y a pas de meilleur moment pour faire cela que lorsque tu es écrasé d’un service actif. S’il y a la moindre trace dans ton cœur d’un motif qui ne serait pas désintéressé ou pur , la prospérité à mon service te serait préjudiciable ; mais je t’aime trop pour que tu sois lésé.

Et ensuite, afin que je te bénisse à mon service, il est essentiel que tu t’adresses à moi pour que je te rendre fort et que je te conduise. Cette expérience d’attente que tu traverses actuellement t’aideras à réaliser ta propre faiblesse ton grand besoin de moi. Ma force sera rendue parfaite dans ta faiblesse, mais seulement si tu réalises ta faiblesse (2. Corinthiens 12:9)

quand tu en arriveras au point de trembler en pensant à toi-même et que tu réaliseras le peu que tu peux faire pour moi par ta propre force, alors je pourrais t’utiliser pour faire de grandes choses pour moi, et ce n’est pas de ce côté-ci du voile, alors sûrement quand je t’aurais élevé en gloire pour vivre et régner avec mon fils bien aimé’’.

Et si, par la providence, tout ton temps, ta force était moyens sont accaparés pour prendre soin de ceux qui dépendent de toi, (c’est que cette chose est de moi), elle aussi. Si tu décharges des responsabilités sur moi, j’accepterais ton service comme  s’il  étais fait directement dans la vigne. Je sais que dans ton cœur tu veux me rendre service, et c’est légitime. Je me réjouis de cette attitude, je serais très près le toi et je te bénirai. Mais qu’un toit sur tes gardes ; peut-être le temps viendra où je t’ouvrirai la voix pour me servir d’une manière plus directe. Prends garde est pris pour ne pas tomber dans une indifférence mondaine tout simplement parce qu’actuellement tu est privé des privilèges de travailler directement avec moi.

Si peut-être, tu désires avoir beaucoup d’argent que tu pourrais consacrer à mon service, je l’apprécie ; mais que fais-tu avec le peu que tu possèdes ? J’ai dit et redit à mon peuple que ceux qu’ils sont fidèles dans les petites choses le seront aussi dans les grandes (Luc 16. 10) après tout, mon cher enfant, ma préoccupation la plus importante en ce qui te concerne et que tu te révèles fidèles ; et tu peux le faire avec quelques centimes aussi bien qu’avec une grande fortune qui pourrait être consacrée à mon service. Tu as sans doute lu ce que mon fils bien-aimé a dit sur la valeur qui allait juste de piécettes dans le trésor du temple. Le fait que tu n’es que des piécettes à consacrer à mon service est une chance pour toi. Cette chose est de moi ! Je t’observe pour voir si tu fais comme cette veuve (Marc 12. 42 – 44 et Luc 21:1 –4).

La providence du seigneur à l’égard de son peuple est réellement merveilleuse. Fréquemment, ceux qui ont eu que peu ou pas d’opportunité de services trouvent subitement que de curieux privilège de moissonner s’ouvre devant eux. Ceux qui ont eu de petites opportunités peuvent en avoir de plus grandes. Ceux qui en sont empêchés par la maladie peuvent guérir. Des responsabilités familiales peuvent se réduire. Certains de ceux qui possèdent peu de bien de ce monde peut en acquérir davantage et les utiliser pour le seigneur. Ces changements de circonstances devraient être acceptés comme venant du seigneur ; alors une fois de plus nous l’entendons-nous dire : cette chose est de moi

Bonne journée et bonne lecture.

Fabrice

 

La religion et le lien qui nous relie

Quelle est pour nous la seule chose nécessaire ?

La seule chose nécessaire pour chacun de nous, c’est avoir le pardon de nos pêchées et la vie éternelles.

Ce pardon et cette vie, nous les trouvons dans la religion.

La religion et le lien qui nous relie et nous unit à Dieu, tant nous sommes séparés par le péché.

Comment la religion nous unit-elle à Dieu?

:Elle nous unit à Dieu, en nous apprenant à le connaître, à l’aimer, lui obéir.

C’est ici la vie éternelle ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et Jésus-Christ que tu as envoyé. Jean 17 3.

Est-il bien important de connaître ce que la religion nous enseigne ?

Rien n’est plus important pour nous que de connaître Dieu et les voies qu’il a choisit pour nous rendre heureux dans ce monde et dans l’éternité.

En effet, que servirait-il à un homme de gagner le monde, s’il perdait son âme ? Marc 8,36.

Quel est donc notre devoir en ce monde ?

puisque nous trouvons dans la religion la vérité, le pardon et la vie dont nous avons besoin, notre devoir est de nous mettre par elle en rapport avec Dieu, pour vivre en communion avec lui.

Une seule chose est nécessaire… (Luc 10,42.)

La piété et  les promesses de la vie présente et de celle qui est à venir ( 1 Timothée 4,8).

Souviens-toi de ton créateur au jour de ta jeunesse, avant que les jours mauvais viennent et que les années s’approchent ou tu diras : « je n’y trouve pas Plaisir (Ecclésiaste 7,3)

comment pouvons-nous connaître Dieu ?

Nous avons divers moyens naturels, Pour arrivé à la connaissance de Dieu : principalement la contemplation de ces œuvres et le témoignage de de la conscience.

Comment est-ce que l’univers nous montre Dieu ?

En contemplant les cieux et la terre, nous reconnaissons que le monde n’a pu se faire lui-même ( hébreux 3,4), et qui n’existerait pas s’il n’y avait un Dieu créateur et tout-puissant .

Les cieux racontent la gloire du Dieu fort, et l’étendue donne à connaître l’ouvrage de ses main (psaume 19,2)

comment voyons-nous encore qu’il y a un Dieu sage et bon ?

Nous voyons de plus, dans l’univers, un ordre si merveilleux et tant de marque d’une sagesse infinie que nous sommes obligés d’y reconnaître l’ouvrage d’une intelligence suprême, d’un Dieu infiniment sage et bon (.Romains ;1, 20)

Est-ce que la conscience ne nous parle pas aussi de Dieu ?

La conscience, cette voix intérieure dont les jugements ne dépendent pas de nous-mêmes, nous avertit aussi, quand elle nous approuve ou nous condamne, il y a un Dieu juste et Saint  à qui nous aurons à rendre compte.

Les commandements de Dieu sont écrits dans le cœur des hommes, puisque leur conscience leur rend témoignage et que leurs pensées les accusent ou les défendent. Romains ( 2, 15)

Ces moyens suffisent-t-ils pour nous faire connaître Dieu ?

Ces moyens naturels sont loin de suffirent pour donner une idée exacte de Dieu ; car la vue de la création ne nous dit pas tout ce qu’il est, et la conscience, obscurcie par le péché nous laisse ignorer quels sont les deux obligations envers lui. (psaumes 19,1 – 15)

La révélation.

Est-ce que nous sommes réduits à nos seuls moyens naturels pour arriver à connaître Dieu ?

Dieu dans ses saintes compassions, elle ne nous a pas abandonné à nous-mêmes : il a relevé le voile qui le cachait à nos yeux il s’est révélé lui-même afin de nous ramener à lui.

comment Dieu s’est-il révélé aux hommes ?

Après avoir parlé à nos pères en divers temps et en diverses manières par les prophètes, Dieu nous a parlé en ces derniers temps par son fils, qui est la splendeur de sa gloire et l’image empreinte de sa personne. (Hébreux. 1. 13)

cette révélation et son histoire se trouvent dans la Bible ou le livre par excellence que l’on appelle aussi l’écriture sainte la parole de Dieu (1 Thessaloniciens 2, 13)

Une re-naissance

 

Une re-naissance

 

Naître de nouveau ?

« Mais il y eut un homme d’entre les pharisiens, nommé Nicodème, un chef des Juifs, qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit: Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu ; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n’est avec lui. Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu1 ». Parce qu’il était Juif et descendant d’Abraham, Nicodème considérait qu’il faisait partie de la race élue. Il venait d’une lignée privilégiée. Les circonstances de sa naissance étaient donc idéales. Et pourtant, Jé- sus lui dit: «Tu dois naître de nouveau ».

Comment est-ce possible ?

« Nicodème lui dit : Comment un homme peut-il naître quand il est

Jésus ne parlait pas de la naissance physique. Mais d’une seconde naissance, un commencement spirituel. C’est très clair. Pour aller au ciel, en

plus de naître physiquement, il faut naître spirituellement !

Croire oui mais qui, quoi ?

Jésus explique à Nicodème que pour naître de nouveau, il devait d’abord reconnaître qu’il était pécheur. Ensuite, il devait changer sa manière de penser. Cesser de croire que sa lignée ancestrale et son statut pouvaient le rendre acceptable aux yeux de Dieu. Et enfin il devait croire que c’est Jésus qui le rendrait présentable devant Dieu. Dans ce contexte, le mot croire signifie plus qu’un assentiment intellectuel. Il inclut un acte de volonté. C’est synonyme d’avoir la foi ou d’avoir confiance.

L’objet de notre foi est capital! Il y a quelques années, un individu avait empoisonné des capsules d’analgé- sique. Des personnes, croyant sincèrement que le médicament était ce qu’il prétendait être, l’avaient pris de bonne foi et en étaient morts. Leur confiance avait innocemment été placée dans un produit mauvais. Une personne peut être convaincue qu’un ovni peut la sauver de son péché, mais la confiance fondée sur une croyance erronée est vaine. Si Dieu est l’objet de notre foi, le résulta sera tout autre.

La vie éternelle

«Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n’a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu’il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n’est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du Fils unique de Dieu ».

Jésus promet la vie éternelle non seulement à Nicodème, mais à quiconque croit en lui! L’ange avait dit à Marie et à Joseph de nom- mer leur fils « Jésus » parce que ce nom signifiait Libérateur et Sauveur. Maintenant, Jésus déclare qu’il va délivrer toute l’humanité des conséquences du péché : le châtiment éternel dans l’étang de feu. Jésus n’est pas venu ici- bas pour juger le monde, mais pour le délivrer des malheurs causés par le péché, par Satan et par la mort.

Une seule alternative

Jésus affirme que ceux qui mettent leur foi en lui ne seront pas jugés pour leurs péchés, tandis que ceux qui ne croient pas sont déjà jugés. On ne peut pas dire : « Je vais y penser » et rester neutre : il faut décider de croire, sinon, on reste incrédule. Ne pas choisir est en réalité faire un choix.

De plus, Jésus déclare clairement qu’il n’est pas nécessaire d’attendre la mort pour connaître sa destinée éternelle. Chaque être humain est condamné et déjà en route vers l’étang de feu – jusqu’au moment où il met sa confiance en Jésus pour être délivré. C’est alors qu’il reçoit la vie éternelle. Voilà la pro- messe que Jésus a faite : « Oui, vraiment, je vous l’assure: celui qui écoute ce que je dis et qui place sa confiance dans le Père qui m’a envoyé, possède, dès à présent, la vie éternelle et il ne sera pas condamné; il est déjà passé de la mort à la vie4 ».

Jésus n’a pas dit que le péché ne serait pas jugé. Mais qu’il sauve le pécheur qui se confie en lui… De quel côté êtes-vous: ce- lui du pécheur repentant, pardonné et sauvé ou celui du pécheur qui a décidé de ne pas croire ?

 

La résurrection

tombeau vide

Vous cherchez Jésus de Nazareth, celui qui a été crucifié ? Il est ressuscité…

Marc 16.6

La résurrection de Jésus-Christ est l’événement le plus important de l’histoire de l’humanité.

Tout d’abord, il est certain que Jésus était réellement mort. Les soldats romains qui l’ont crucifié ont témoigné qu’il était mort. Quand l’un d’entre eux a percé son côté avec une lance, du sang coagulé et de l’eau ont coulé de la blessure. Quelques disciples et le pharisien Nicodème ont vu le cadavre. Joseph d’Arimathée l’a transporté de la croix jusque dans sa tombe. Les 50 kilos d’aromates, qu’on a mis sur lui pour l’embaumer, auraient tué Jésus, s’il n’était pas déjà mort. Oui, Jésus était mort.

Sa résurrection est toute aussi certaine : Jésus, revenu à la vie, est apparu à de nombreuses personnes, et même à 500 personnes à la fois. Ces témoins l’ont touché, ont parlé et mangé avec lui. Le disciple Thomas n’a cru que lorsqu’il a pu toucher les mains percées, et le côté ouvert par la lance. Alors il s’est écrié : « Mon Seigneur et mon Dieu ! ». L’apôtre Jean a cru quand il a vu dans le tombeau les bandelettes dont on avait enveloppé le cadavre, toujours en place, mais sans le corps.

Oui, Jésus-Christ est vivant pour l’éternité. Il est le seul fondateur de religion qui est revenu à la vie. Il est assis à la droite de Dieu, d’où il reviendra bientôt, pour juger les vivants et les morts.

Faites-lui confiance, pour la vie présente et pour l’éternité. Il est vraiment ressuscité !

Résurrection

Nous ne pouvons pas ne pas parler de ce que nous avons vu et entendu.

Actes 4.20

Est-il si difficile de croire à la résurrection des morts ? La nature ne nous l’enseigne-t-elle pas par le grain de blé ? Il meurt pour donner naissance à un bel épi qui donnera finalement plusieurs grains. Bien sûr, ce n’est qu’une image, mais très parlante. Pourquoi la mort ne serait-elle pas suivie d’une résurrection d’entre les morts ? L’Évangile nous apporte une certitude : Jésus-Christ a réduit la mort à l’impuissance et a mis en évidence la vie. Il est sorti du tombeau. Des témoins dignes de foi l’ont vu vivant. On a essayé de les faire taire. Ils ont été battus, jetés en prison, mais ont persévéré dans leur témoignage.

C’est aussi le témoignage de millions d’hommes et de femmes qui ont écouté et reçu le message de l’Évangile. Ils croient que Jésus est vivant. La preuve qu’ils avancent : Jésus vit en eux, il les conduit, les soutient, remplit leur cœur de paix.

Nous ne prêchons pas un Sauveur mort qui ne serait qu’un exemple à imiter. Nous prêchons un Sauveur vivant qui vit près de nous. Plus encore : un Sauveur qui vit en nous et nous aide à accomplir de bonnes œuvres et à répandre son amour envers ceux qui en ont tant besoin.

Ce Sauveur est pour vous, qui que vous soyez, quel que soit votre passé. Priez-le de venir vivre en vous si vous ne l’avez pas encore fait. Il vous répondra et votre vie sera changée.

Que le Christ vivant puisse nous rejoindre sur nos chemins de douleur, et que nous puissions prendre conscience que Dieu reste le maître des temps et des circonstances de chaque étape de nos vies !

Image

L’amour

Les épîtres regorgent d’enseignements pratiques au sujet de l’amour qui, dans sa théologie, est un élément absolument indispensable de toute vie chrétienne authentique. Quelques extraits :

    • « L’amour est patient, l’amour est serviable, il n’est pas envieux ; l’amour ne se vante pas, il ne s’enfle pas d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche pas son intérêt, il ne s’irrite pas, il ne médite pas le mal, il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité ; il pardonne tout, il croit tout, il espère tout, il supporte tout » (1 Corinthiens 13.4-7 – on pourrait facilement citer tout le chapitre).
    • « Frères, vous avez été appelés à la liberté ; seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte pour (vivre selon) la chair, mais par amour, soyez serviteurs les uns des autres. Car toute la loi est accomplie dans une seule parole, celle-ci : Tu aimeras ton prochain comme toi-même » (Galates 5.13-14).
    • « Ainsi donc, comme des élus de Dieu, saints et bien-aimés, revêtez-vous d’ardente compassion, de bonté, d’humilité, de douceur, de patience. Supportez-vous les uns les autres et faites-vous grâce réciproquement ; si quelqu’un a à se plaindre d’un autre, comme le Christ vous a fait grâce, vous aussi, faites de même. Mais par- dessus tout, revêtez-vous de l’amour qui est le lien de la perfection » (Colossiens 3.12-14).
    • « Le but de cette recommandation, c’est l’amour qui vient d’un cœur pur, d’une bonne conscience et d’une foi sans hypocrisie » (1 Timothée 1.5).

L’amour étant l’accomplissement de la loi de Dieu (« L’amour ne fait pas de mal au prochain : l’amour est donc l’accomplissement de la loi », Romains 13.10), il ne peut jamais se manifester vraiment en nous par nos propres efforts, puisque nous sommes incapables d’accomplir la loi de Dieu. L’amour de l’homme a ses limites strictes, tandis que l’amour de Dieu est sans limites. Il n’y a donc que la transformation qui vient de Dieu seul qui peut nous apprendre à aimer véritablement. Puisque cette transformation vient de l’œuvre de Christ, qu’il faut accepter par la foi, il n’y a pas d’amour dans le sens divin sans la foi. Et puisque cet amour en nous est l’œuvre de Dieu, d’un Dieu parfait qui finit ce qu’il commence, s’il est en train de développer l’amour en nous, c’est qu’il le fera jusqu’au bout, jusqu’au jour où cet amour remplira parfaitement nos cœurs. Le vrai amour implique donc la foi et l’espérance.

La « foi en Christ », si elle n’est pas accompagnée de l’espérance d’être délivré totalement du péché et de vivre dans l’amour parfait, devient un prétexte pour courir après n’importe quelle délivrance (délivrance de la condamnation et de la souffrance qui l’accompagne, délivrance de la maladie, délivrance de la pauvreté, délivrance de l’échec, délivrance de la vie dure…) et nous nous trouvons précisément dans l’évangile du monde. Certains vont jusqu’à enseigner explicitement que le salut n’a pas forcément besoin d’être accompagné de repentance (c’est-à-dire, ils disent qu’on peut accepter un salut qui est censé nous délivrer du péché, sans manifester le désir d’être délivré du péché !), parce qu’ils ont séparé la foi de l’espérance et de l’amour.

Bonne journée

Fabrice

 

Christ l’incomparables !

Christ l’incomparables !

Non personne ni rien ne peut lui être comparé !

Il est venu de Dieu. Il est né d’une humble femme. Sa naissance et un fait qui confond la raison des sages, et dont aucun savant sous le ciel n’a jamais pénétré le secret. Il a revêtu la nature humaine, afin de de pouvoir racheter l’espèce humaine. Il est devenu fils de l’homme , afin que nous devenions fils de Dieu.

Il a vécu dans la pauvreté, grandi dans l’obscurité. Une fois seulement au cours de sa jeunesse il a franchi la frontière de sa province. Il n’a pas eu les avantages d’une haute instruction ou d’une éducation distinguée, sa famille étant sans fortune et sans influence. Et pourtant, petit enfant, il a été un sujet de terreur pour un roi ; jeune garçon, il a étonné et embarrassé les docteurs ; dans l’âge mûr, il a commandé la nature, marcher sur les vagues, ordonné à la mer de s’apaiser, rendu la santé du corps à des multitudes, ressuscité des morts par le seul pouvoir de sa parole.

Il est unique.

Il n’a jamais écrit de livre, et cependant aucune bibliothèque ne pourrait contenir les livres qui ont été écrits à son sujet. Il n’a jamais composé un cantique, et pourtant le nombre des mélodies dont ‘il est aujourd’hui le thème est tel, que tous les compositeurs réunis ne sauraient l’égalés. Il n’a jamais fondé une école, et pourtant toutes les universités du monde ne pourraient se vanter d’avoir rassemblé autant de disciples. Il n’a jamais appris ni exercer la médecine, mais qui donc pourrait dire le nombre des cœurs brisés par la souffrance qui depuis 19 siècles ont trouvé auprès de lui la guérison ? Il n’a jamais commandé une armée, ni enrolé un soldat, ni manié un fusil, et pourtant aucun chef n’avait plus de volontaires. Et, de par le monde entier, des rebelles ont déposé les armes de la révolte est soumis leur volonté à la sienne, sans une parole de sommation de sa part, sans un geste de violence, par les seules armes de la douceur. Il a changé son vêtement de pourpre royale pour la tenue de la simple artisan. Il était riche, par amour pour nous, il s’est fait pauvre , et combien pauvre ! Demandez-le à Marie demandez-le au berger et aux mages … Il a dormi dans la crèche d’un autre. Il a traversé le lac de Jesse Génésareth dans la barque d’un autre. Il a fait son entrée à Jérusalem le jour des rameaux sur l’âne d’un autre. Il a été enseveli dans la tombe d’un autre.

Il est Eternel.

De grands hommes ont disparu et sont tombés dans l’oubli. Lui seul ne passe pas. Hérode n’a pu le supprimer et Satan n’a pas réussi à faire obstacle à son œuvre. La mort n’a pas été capable de le détruire, ni le tombeau de le retenir sous sa puissance. Il est le Christ incomparable, l’admirable » annoncé par la voix du prophète des temps anciens. Sa personne et le grand miracle de l’histoire de la race humaine : sur son visage d’homme rayonne de gloire éternelle du très haut .

Sur la croix des esclaves et des criminels, il est mort pour l’amour de ton âme égarée, Ô mon frère . Il est mort d’une mort horrible et pleine d’angoisse, écrasé sous le poids de ton péché…

Patiemment, année après année sur les sentiers du doute ou tu fuyais ses pas, son cœur fidèle t’a cherché, es tu ne le savais pas !…

Maintenant, sa voix te parle ouvre-lui ton cœur.

Ne tarde pas .

Il a souffert la mort pour te donner la vie aujourd’hui il faudrait t’entendre l’appeler : « mon sauveur » ! Il n’y a pas de salut en aucun autre ; car il n’y a tout le ciel aucun autre nom qui est été donné aux hommes, par lequel nous devrions être sauvés. ( Actes des apôtres 4:12)

Christ l’incomparables !

Christ l’incomparables !

Non personne ni rien ne peut lui être comparé !

Il est venu de Dieu. Il est né d’une humble femme. Sa naissance et un fait qui confond la raison des sages, et dont aucun savant sous le ciel n’a jamais pénétré le secret. Il a revêtu la nature humaine, afin de de pouvoir racheter l’espèce humaine. Il est devenu fils de l’homme , afin que nous devenions fils de Dieu.

Il a vécu dans la pauvreté, grandi dans l’obscurité. Une fois seulement au cours de sa jeunesse il a franchi la frontière de sa province. Il n’a pas eu les avantages d’une haute instruction ou d’une éducation distinguée, sa famille étant sans fortune et sans influence. Et pourtant, petit enfant, il a été un sujet de terreur pour un roi ; jeune garçon, il a étonné et embarrassé les docteurs ; dans l’âge mûr, il a commandé la nature, marcher sur les vagues, ordonné à la mer de s’apaiser, rendu la santé du corps à des multitudes, ressuscité des morts par le seul pouvoir de sa parole.

Il est unique.

Il n’a jamais écrit de livre, et cependant aucune bibliothèque ne pourrait contenir les livres qui ont été écrits à son sujet. Il n’a jamais composé un cantique, et pourtant le nombre des mélodies dont ‘il est aujourd’hui le thème est tel, que tous les compositeurs réunis ne sauraient l’égalés. Il n’a jamais fondé une école, et pourtant toutes les universités du monde ne pourraient se vanter d’avoir rassemblé autant de disciples. Il n’a jamais appris ni exercer la médecine, mais qui donc pourrait dire le nombre des cœurs brisés par la souffrance qui depuis 19 siècles ont trouvé auprès de lui la guérison ? Il n’a jamais commandé une armée, ni enrolé un soldat, ni manié un fusil, et pourtant aucun chef n’avait plus de volontaires. Et, de par le monde entier, des rebelles ont déposé les armes de la révolte est soumis leur volonté à la sienne, sans une parole de sommation de sa part, sans un geste de violence, par les seules armes de la douceur. Il a changé son vêtement de pourpre royale pour la tenue de la simple artisan. Il était riche, par amour pour nous, il s’est fait pauvre , et combien pauvre ! Demandez-le à Marie demandez-le au berger et aux mages … Il a dormi dans la crèche d’un autre. Il a traversé le lac de Jesse Génésareth dans la barque d’un autre. Il a fait son entrée à Jérusalem le jour des rameaux sur l’âne d’un autre. Il a été enseveli dans la tombe d’un autre.

Il est Eternel.

De grands hommes ont disparu et sont tombés dans l’oubli. Lui seul ne passe pas. Hérode n’a pu le supprimer et Satan n’a pas réussi à faire obstacle à son œuvre. La mort n’a pas été capable de le détruire, ni le tombeau de le retenir sous sa puissance. Il est le Christ incomparable, l’admirable » annoncé par la voix du prophète des temps anciens. Sa personne et le grand miracle de l’histoire de la race humaine : sur son visage d’homme rayonne de gloire éternelle du très haut .

Sur la croix des esclaves et des criminels, il est mort pour l’amour de ton âme égarée, Ô mon frère . Il est mort d’une mort horrible et pleine d’angoisse, écrasé sous le poids de ton péché…

Patiemment, année après année sur les sentiers du doute ou tu fuyais ses pas, son cœur fidèle t’a cherché, es tu ne le savais pas !…

Maintenant, sa voix te parle ouvre-lui ton cœur.

Ne tarde pas .

Il a souffert la mort pour te donner la vie aujourd’hui il faudrait t’entendre l’appeler : « mon sauveur » ! Il n’y a pas de salut en aucun autre ; car il n’y a tout le ciel aucun autre nom qui est été donné aux hommes, par lequel nous devrions être sauvés. ( Actes des apôtres 4:12)

Le combat Chrétien

LA COURONNE EST PROMISE AUX VAINQUEURS. — SATAN NOTRE ENNEMI EST VAINCU AVEC L’AIDE DE JÉSUS-CHRIST.

 

1. La palme de la victoire n’est offerte qu’à ceux qui combattent. Dans les saintes Écritures, nous trouvons à chaque pas la promesse de la couronne, si nous sortons victorieux de la lutte; mais pour éviter une foule de citations, ne lit-on pas en termes clairs et précis dans l’apôtre saint Paul : « J’ai achevé mon « oeuvre, j’ai fourni ma course, il ne me reste « plus qu’à recevoir la couronne de justice qui « m’est réservée (1) ? » Il faut donc connaître quel adversaire nous avons à vaincre pour être couronnés; c’est celui que Notre-Seigneur lui-même a vaincu le premier, afin que nous aussi, en lui demeurant unis, nous puissions le vaincre à notre tour.

La Vertu et la Sagesse de Dieu, le Verbe par qui tout a été fait, c’est-à-dire le Fils unique de Dieu, demeure éternellement immuable au-dessus de toute créature.

Or, si toute créature que n’a pas souillée le péché, est sous sa dépendance, à plus forte raison en est-il de même pour celle que le péché a dégradée. Si tous les anges restés purs sont sous lui, encore ne sont-ils pas bien davantage sous lui, tous ces anges prévaricateurs dont Satan est le chef? Mais, comme Satan avait séduit notre nature, le Fils unique de Dieu a daigné revêtir notre humanité, pour vaincre Satan avec elle, et mettre sous notre dépendance celui qu’il tient’ sans cesse sous- la sienne; c’est ce qu’il fait entendre lui-même quand il dit : « Le prince du monde a été

Le combat du Chrétien chassé ». Non qu’il ait été chassé hors du monde, comme le pensent quelques hérétiques, mais il a été rejeté hors des âmes de ceux qui restent fidèles à la parole de Dieu, loin de s’attacher au monde dont Satan est le maître; car s’il exerce un pouvoir absolu sur ceux qui recherchent les biens éphémères du siècle, il n’est pas pour cela le maître du monde ; mais il est le prince de toutes ces passions qui nous font convoiter les biens périssables; de là vient l’empire qu’il exerce sur tous ceux qui négligent Dieu, dont le règne est éternel, pour n’estimer que des frivolités que le temps change sans cesse ; « car la cupidité est la racine de tous les maux ; et c’est en s’y laissant aller que quelques-uns se sont écartés de la foi et se sont attirés de nombreux chagrins (2) ». C’est à cause de cette concupiscence que Satan établit sa domination sur l’homme, et prend possession de son coeur. Voilà l’état de ceux qui aiment ce monde. Or, nous bannissons Satan, toutes les fois que nous renonçons du fond du coeur aux vanités du monde; car on se sépare de Satan, maître du monde, quand on renonce à ses attraits corrupteurs, à ses pompes, à ses anges. Aussi Dieu lui-même, une fois revêtu de la nature triomphante de l’homme, nous dit-il : « Sachez que j’ai vaincu le monde .