L’autorité Inébranlable : LaParole que Le Seigneur a donné .

La vérité et les écritures.

Dans sa prière de souverain sacrificateur, sa prière sacerdotale, le seigneur Jésus-Christ à clairement proclamer que la parole de Dieu et la vérité. Il dit : « sacrifie les partages de vérité : la parole est la vérité. »

Non seulement la parole de Dieu contient la vérité, mais elle est par elle-même la vérité. L’Ancien Testament ne dit pas autre chose : le Saint Esprit y proclame constamment que la révélation donnée par Dieu est la vérité.

Pour notre seigneur lui-même, la vérité et la parole écrite ne font qu’un.

L’unique source dont on puisse dire : « la parole est la vérité »

c’est l’écriture.

Il n’y en a pas d’autres. Cette source, l’écriture, et le seul critère de vérité pour le croyant. Dans le nouveau testament, la parole de Dieu, et elle seule, est l’autorité suprême à laquelle se réfère le seigneur Jésus-Christ et ses apôtres.

Au cours de la tentation, par trois fois le seigneur Jésus-Christ a résisté à Satan en disant : « il est écrit. » Il lui a répliqué par ces paroles : « il est écrit : l’homme ne vivra pas seulement de pain, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu (15)

« Il est écrit «, le seigneur a montré qu’il acceptait sans réserve l’autorité de la parole écrite.

Il l’a clairement fait comprendre aussi quand il a déclaré :

ne pensez pas que je sois venu abolir la loi et les prophètes, je suis venu non pas pour abolir, mais pour accomplir. En vérité je vous le dis, jusqu’à ce que le ciel et la terre passent, pas un seul iota, pas un seul trait de lettres de la loi ne passera, jusqu’à ce que tout soit arrivé (16)

Condamnation des autres sources d’autorités.

Le Christ Jésus a sans cesse fustigé et réprimander les pharisiens, par ce qu’il mettaient leurs traditions sur un pied d’égalité avec la parole de Dieu.

Il les a condamnés par ce qu’il cherchait à corrompre les fondements mêmes de la vérité en plaçant leurs traditions aussi haut que la parole de Dieu.

Il a déclaré : vous annulez aussi la parole de Dieu par votre tradition que vous êtes donnée (17)

ces traditions des pharisiens étaient des préceptes, les ordonnances et des règles religieuses élaborées par les savants et les enseignants religieux au fil du temps. Elles avaient été transmises oralement, et aussi par des écrits revus et corrigés de façon sélective.

Ces traditions à la fois orales et écrites formaient un ensemble véhiculant toute une culture. Celle-ci était devenue un code officiel d’interprétation et de directives pour la vie religieuse.

Même les enseignements limpides des écritures avaient fait l’objet d’un tri ; on les avait modifiés pour les adapter au goût et aux préférences des hommes.

De plus, quand il réfutait les erreurs des sadducéens, le seigneur a déclaré : « vous êtes dans l’erreur, car vous ne connaissez ni les écritures, ni la puissance de Dieu » (18)

puisque seule l’écriture est inspirée (19) seule, elle constitue l’autorité suprême ; seule, elle est le juge suprême de toutes traditions humaines, de tout raisonnement humain.

La parole de Dieu enseigne que : « toute parole de Dieu « était prouvée. Il est un bouclier pour ceux qui se réfugient en lui. »

Puis elle commande :

n’ajoutait rien à ses paroles, de peur qu’il ne te reprenne et que tu ne sois trouvé menteur (20)

Dieu insiste sur ce point : personne ne doit ajouter quoi que ce soit à sa parole.

Cet enseignement est ce commandement montre avec force que seule la parole de Dieu est pure et exempte de pollution.

la vérité, la voici : puisque c’est Dieu seul qui exalte sa parole écrite (21) cette parole, et elle seule, est l’unique règle de foi. Il ne peut en être autrement.

toute église qui contredit l’écriture qui tente de la reléguer à une place inférieure dans la vie de foi et à coup sûr menteuse et trompeuse :

elle voudrait chasser Dieu de son trône afin de s’emparer elle-même de l’autorité absolue.

L’expression : « l’écriture seule ».

Depuis que les 10 commandements ont été donnés sur le mont Sinaï, où le Dieu saint aggravé de son doigt les tables de pierre (Exode 31:18) jusqu’à ce jour, la parole écrite de Dieu a été présente dans le monde.

« Sola scriptura »

(l’écriture seule) comme critère de vérité signifie que l’écriture est l’unique point de référence permettant de découvrir ce qu’il faut croire au sujet de Dieu, et quelles sont les devoirs que Dieu assigne à l’homme.

l’expression « l’écriture dit » implique qu’on parle uniquement de ce qui a été mis par écrit, et non de quelques ouïes dirent.

Le commandement qui nous est fait de croire ce qui est écrit signifie que nous devons recevoir que la parole pure venant de Dieu. Cette parole établit une séparation claire et nette entre toutes les autres sources et cet ensemble de vérités que l’homme est tenu de croire.

C’est de la vérité incorruptible de Dieu qu’il s’agit.

L’enjeu pour les hommes, ces possibilités et même d’avoir une certitude, comme il est dit dans proverbes 22:21 :

« pour te faire connaître ce qui est sûr, des paroles vraies. »

Le salut des âmes immortelles demande la certitude.

Dans le tout dernier commandement, Dieu commande expressément que personne n’ajoute rien et que personne ne retranche rien à sa parole écrite.

« Je l’atteste à quiconque entends les paroles de la prophétie de ce livre : si quelqu’un y ajoute, Dieu ajoutera à son sort les plaies décrites dans ce livre. Et si quelqu’un retranche des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de vie et de la ville sainte, décrit dans ce livre » (22)

Le principe d’interprétation.

Le principe de « l’écriture seule » et dans le droit fil de ce qu’affirme la divine parole de vérité sur la manière dont il faut interpréter.

Le verset 9 du psaume 36 explique :

« car en toi est la source de vie : par ta lumière, nous voyons la lumière. »

La vérité de Dieu se voit à la lumière de la vérité de Dieu. C’est exactement ce que dit l’apôtre Paul : « Et nous en parlons, non pas avec des discours qu’enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu’enseigne l’esprit, en expliquant un les réalités spirituelles à des hommes spirituels » (23)

c’est justement la lumière répandue par la vérité de Dieu qu’on voit sa sa vérité. L’écriture fournit sa propre règle d’interprétation.

Sans l’impulsion du Saint Esprit, l’apôtre Pierre déclare :

« avant tout un, sachez qu’aucune prophétie de l’écriture ne peut être l’objet d’une interprétation particulière, car ce n’est nullement par une volonté humaine un que la prophétie a jamais été présentée, mais c’est poussé par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la parole de Dieu. » (24)

Pierre souligne bien que pour maintenir la pureté de l’écriture, la source d’interprétations doit provenir de la même source pure que l’écriture elle-même.

L’écriture ne peut être comprise correctement qu’à la lumière du Saint Esprit. Seule la lumière du Saint Esprit donne une bonne compréhension de l’Ecriture.

Le Saint Esprit fait en sorte que ceux qui appartiennent à Dieu comprennent l’écriture. Comme c’est au travers de l’écriture que le Saint Esprit accomplisse cela, c’est le même principe qui est à l’œuvre : l’écriture elle-même et la règle d’interprétation de sa propre vérité, un « et c’est l’esprit qui rend témoignage, parce que l’esprit et la vérité. » (25)

ceux qui désirent sincèrement être fidèles au seigneur quant à ce critère de « l’écriture seule » doivent se tourner vers le seigneur et obéir à son commandement : «Revenez pour écouter mes réprimandes ! Voici que je répandrai sur vous mon Esprit, je vous ferai connaître mes paroles » (26)

celui qui aspire de tout cœur à la vérité dans ce domaine essentiel doit avoir l’attitude décrite dans le psaume 51 ou versert19 : « un cœur brisé et contrit, O Dieu , tu ne le dédaignes pas. »

Le seigneur ne dédaignera pas un tel cœur :

ils lui révéleront les vérités absolument fondamentales concernant le seigneur Jésus-Christ et des apôtres.

Comme le dit l’apôtre Jean : « c’est ce disciple qui rend témoignage de ces choses et qui les a écrites. Et nous savons que son témoignage est vrai. » (27)

tout comme Pierre et Paul , l’apôtre Jean écrit pour que ceux qui sont réconciliés avec Dieu du sache que son témoignage est véridique

L’Ecriture est suffisante, et elle et Claire.

L’écriture suffit pleinement ; l’apôtre Paul déclare en ces termes : « toute écriture est inspirée de Dieu et utiles pour enseigner, pour convaincre, pour redresser, pour éduquer dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit adapté et préparé à toute œuvre bonne. » (28)

A elle seule, l’écriture suffit pleinement pour établir la vérité absolue, l’autorité absolue.

En effet, la parole de Dieu contient sa propre règle spirituelle d’interprétation historique et grammatical

les passages de l’écriture dont le sens est clair clarifient les passages qui au premier abord semblent obscurs

le Saint Esprit lui-même et donnez aux croyants pour que par la prière diligente et l’étude comparative, ils connaissent à la fois le sens de l’Évangile et la volonté de Dieu. En comparant l’écriture à l’écriture et en se soumettant au ministère éclairant du Saint Esprit, le lecteur à l’esprit renouvelé se regarder du péril des séductions mystiques issues de son imagination est centré sur son ego.

Il se rend garder du fanatisme religieux et des hérésies sectaires . L’homme naturel qui n’a pas été vivifié par le Saint Esprit, et qui n’est pas habité par ce même esprit, n’a que son intelligence en ténébreux est pour le guider comme le dit l’écriture : « mais la naturelle ne reçoit pas les choses de l’Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c’est spirituellement qu’on en juge » (29)

l’écriture et si claire que même un enfant peut parvenir à la foi au travers de la parole écrite. L’apôtre Paul écrit a-Timothée :

« Depuis ton enfance, tu connais les écrits sacrés : ils peuvent te donner la sagesse en vue du salut par la f en Jésus-Christ » (30)

l’écriture est en grande partie très claire et facile à comprendre. Par exemple, Jean 3 : 36 on lit : « celui qui croit au fils a la vie éternelle ; celui qui ne se confie pas au fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. »

Le sens de se verser et parfaitement clair et précis, comme c’est le cas pour la plus grande partie de l’écriture.

L’argument selon lequel « l’écriture seule » n’est pas viable.

Pour tenter de justifier la tradition en tant qu’autorité, on fait souvent appel au dernier verset de l’Évangile de Jean :

« Jésus a fait encore beaucoup d’autres choses ; si on les écrivait en détail, je ne pense pas que le monde même pourrait contenir les livres qu’on écrirait. » (31)

bien sûr, le seigneur a dit et fait beaucoup de choses qui ne sont pas enregistrées dans l’écriture. Cependant, l’écriture demeure l’enregistrement qui fait autorité, celui que le Saint Esprit a donné à son peuple.

Il n’est pas une seule phrase dont on puisse affirmer avec autorité télé du seigneur, en dehors de la parole contenu dans le nouveau testament

il est utile de fonder l’autorité sur une tradition que le Saint Esprit n’a pas donné. il est simplement faux de prétendre que la tradition as-tu préserver de façon sûre des paroles eh bien ça capte du seigneur par une transmission de bouche à oreille. Il est ridicule de prétendre que cela puisse être, car le langage parlé n’est pas stable, la communication orale et bien fragile, et la mémoire humaine n’est pas fiable

Croire aux traditions humaines, c’est faire preuve de superstition, de naïveté spirituelle, de crédulité irrationnelle.

L’écriture donne même un exemple d’une fausse tradition qui était déjà à l’œuvre lorsque Jean rédigé son Évangile :

« le bruit se répandit parmi les frères que ce disciple ne mourrait pas. » (32)

cette rumeur qui voulait que le seigneur revint du vivant de Jean ne relevait pas de la parole de vérité écrite, néanmoins elle s’était répandue dans l’église à l’époque de l’apôtre Jean.

Une autre tentative désespérée pour justifier la tradition et l’argument selon lequel l’église primitive n’avait pas le nouveau testament

cependant, l’apôtre Pierre parle des écrits de l’apôtre Paul :

« notre bien-aimé frère Paul vous là aussi écrit selon la sagesse qui lui a été donnée. C’est ce qu’il fait dans toutes les lettres ou il parle de ces sujets, et où se trouvent des passages difficiles à comprendre, dont les personnes ignorantes et mal affermies tordent le sens, comme elles le font du reste des écritures pour leur propre perdition» (33)

Pierre déclare aussi qu’il écrivait pour que les croyants puissent se rappeler ses paroles. C’est pourquoi il dit : « voilà pourquoi je vais toujours vous rappeler ces choses, bien que vous les sachiez et que vous soyez affermis dans la vérité présente. » (34)

dès l’aube de l’église, une bonne partie du nouveau testament était disponible. Sous l’inspiration du seigneur, l’apôtre Paul commande que ces lettres soit lu dans d’autres églises que celles auxquelles il les avait adressés.

On voit bien par la que la parole écrite du seigneur circulait même du vivant des apôtres.

Les croyants ont toujours eu la possibilité d’obéir aux commandements donnés par le seigneur de croire ce qui est écrit ; et ils ont obéi. Dans ce domaine, il faut être assez humble pour « ne pas aller au-delà de ce qui est écrit ».

Comme l’a dit l’apôtre : « frère, j’ai usé de ces images à propos d’Apollos et de moi, à cause de vous. Vous apprendrez ainsi en nos personnes à ne pas aller au-delà de ce qui est écrit et nul de vous ne s’enorgueillira pas en prenant parti pour l’un contre l’autre. » (35)

ce raisonnement selon lequel l’absence du nouveau testament dans l’Eglise primitive rend nécessaire la tradition est absurde. Il fait bon marcher de deux faits très simples par lesquels Dieu a pourvu aux besoins de l’église. (36)

quand le canon du nouveau testament j’étais pas encore formé, les apôtres eux-mêmes étaient encore présent dans l’église. Ils étaient les ambassadeurs que Christ avait personnellement envoyé, revêtu de son autorité.

Même au cours de cette période de transition, les apôtres n’avais aucun mal à prêcher l’Évangile à partir de l’Ancien Testament, ni à utiliser ce dernier comme guide en matière de foi et de morale. (37)

les écrits du nouveau testament ont été reçu et intégrer dans le canon ses Saintes écritures quand l’œuvre du dernier apôtre survivant a pris fin.

La révélation écrite était close, car la dernière parole prophétique sur le salut avait été donné dans le seigneur Jésus-Christ, de la part du seigneur Jésus-Christ.

La règle qui découle de l’amour du croyant pour Dieu.

Le croyant ne peut pas dire qu’il aime le seigneur Jésus-Christ à moins qu’il n’accorde une confiance Total aux paroles de Christ.

Une fois de plus, ce fait souligne l’importance de l’écriture.

« Jésus lui répondit : si quelqu’un même, il gardera ma parole et mon père l’aimera ; nous viendrons vers lui et nous ferons notre demeure chez lui celui qui ne m’aime pas ne garde pas les paroles. Et la parole que vous entendez n’est pas de moi, mais de mon père qui m’a envoyé. » (38)

Jésus dit aussi :

« le ciel et la terre passerons, mais mes paroles ne passeront pas. » (39)

Alors qu’il vivait sa vie en ce monde a la gloire de son père, le seigneur Jésus étaient en mesure de dire : « celui qui m’envoyait est avec moi : il ne m’a pas laissé seul, parce que moi, je fais toujours ce qui lui est agréable. » (40)

le but suprême du Christ. Jésus était de plaire à son père, et pour cela il se soumettait à l’autorité des écritures qui le guidaient . Il a confirmé ainsi le message central de l’Ancien Testament :

« la loi de l’éternel est parfaite, elle reste hors l’âme ; le témoignage de l’éternelle et véridique, il rend sage le simple. » (41)

le croyant doit rester fidèle envers le seigneur en ne s’attachant qu’à ce qui est écrit :

« ta parole et la vérité »

tout vrai disciple doit donc reconnaître qu’il existe un critère absolu permettant de savoir si une chose est vrai ou fausses, si elle plaît ou déplaît à Dieu.

Autrefois, on s’appuyer sur ce critère : « la règle de la foi », ou bien « le fondement de la vérité » ; cela signifiait « la mesure permettant de connaître la vérité ».

L’Anciens et le nouveau testament démontrent l’un et l’autre que c’est la parole écrite elle-même qui est le fondement de la vérité.

Personne ne peut dire qu’il a pour maitre le seigneur Jésus-Christ, si en même temps il refuse le règne de la parole du père en lui et par lui.

« Pourquoi m’appelez-vous seigneur seigneur ! Et ne faites-vous pas ce que je dis ? » (42)

il n’existe pas de terrain intermédiaire sur lequel levains faux-semblants d’une piété anti biblique pourrais venir se réfugier.

Le choix est clair et net : si vous aimez Dieu, vous n’aimez que sa parole, et non sa parole additionné de parole humaine.

Si vous dites que vous aimez Dieu, vous ne pouvez pas en même temps mépriser sa parole, car c’est la parole elle-même qui décrit les marques de l’affection spirituelle authentique :

« voici sur qui je porterai mes regards : sur le malheureux qui a l’esprit abattu, qui tremble à ma parole. » (43).

La foi, la parole écrite de Dieu et le salut.

Il y a un lien indissoluble entre la certitude que donnent les écritures, et la foi qui sauve. La foi est un don de Dieu, elle est accordée au travers de la parole de Dieu :

« la parole vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend bien de la parole de Christ. » (44)

Il faut que la foi repose sur un fondement.

Cette base là ne peut-être que la parole de celui qui ne peut mentir. Il faut que le cœur reçoive ces paroles et agisse en conséquence. Le Saint Esprit rend cette parole efficace, quand il parle deux l’âmes par elle

la Bible enseigne que c’est par la foi que le croyant est justifié devant Dieu deux.

« L’homme est justifié par la foi sans les œuvres de la loi. » (45)

par quel processus, par quelle puissance l’homme est justifié ? Écriture pose la même question : « par quelle loi ? Par la loi des œuvres ? Non, mais par la loi de la foi. » (46)

les croyants ne sont pas livrés à la perplexité : c’est la loi de la foi qui est en même temps l’œuvre de la Grace ; elle exclut toute vantardise, et elle apporte une conviction puissante, absolue. La foi et le canal de cette grâce qui nous conduit à la dépendance, au renoncement à nous-mêmes ; elle ne laisse pas la moindre place au doute devant la certitude absolu émanant de la parole de Dieu.

Par la foi, c’est-à-dire en comptant sur la véracité de Dieu, on entre dans l’authenticité de la vie en Jésus-Christ « avec une allégresse indicible et glorieuse » (47).

Constamment, nous agissons en comptant sur la véracité de la parole d’autrui : nous croyons, par exemple, que telle parole de tels membres de notre famille est vraie, ou qu’une déposition sous serment devant une cour de justice les vraie.

Or l’apôtre Jean raisonne ainsi :

« si nous recevons le témoignage des hommes, le témoignage de Dieu est plus grand ; car voici le témoignage de Dieu : c’est qu’il rend témoignage à son fils.

Celui qui croit au fils de Dieu à ce témoignage en lui-même ; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son fils. Et voici ce témoignage : Dieu nous a donné la vie éternelle, et cette vie est en son fils. Celui qui a le fils à la vie ; celui qui n’a pas le fils n’a pas la vie. » (48)

la foi et donc un lien unissant l’âme à Dieu si nous croyons en Christ, il devient nôtre. C’est cette fois là qui nous donne d’être approuvé par Dieu.

Les insensés sont ceux qui sont « sans intelligence, et dont le cœur est lent à croire tout ce que dit les prophètes. » (49)

. Les insensés doutent de la parole écrite de Dieu, ou alors ils mettent quelque chose d’autre sur un pied d’égalité avec la parole écrite, annulant ainsi l’autorité et la puissance qu’elle pourrait avoir pour eux.

L’une et l’autre de ces erreurs font passer à côté de la vie éternelle en Christ.

La chose la plus grave, c’est une église qui exige que le peuple aime ses traditions autant qu’il aime la parole écrite, en affirmant qu’en fait les deux ne font qu’un. Une église qui enseigne cela détruit le fondement même sur lequel la foi repose.

Nous aborderons ce point ultérieurement, dans un article intitulé : « la source de l’autorité dans l’église catholique »

mais pour l’instant nous nous réjouirons, car nous voyons que la parole écrite de Dieu et suffisante, vraie et inébranlable.

« Les écrits sacrés, dit l’apôtre Paul peuvent te donner la sagesse en vue du salut par la foi en Jésus-Christ. » (50)

Aucun livre n’a autant de puissance que la Bible.

Aucun autre livre est aussi puissant pour changer les cœurs, les consciences, et les pensées de l’être humain.

« Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus acérée qu’aucune épée à double tranchant, elle pénètre jusqu’à la division de l’âme et de l’esprit, des jointures et des moelles ; elle est juge des sentiments et des pensées du cœur. » (51)

la question cruciale est de savoir si vous faites confiance à cette véracité absolue, et si vous faites confiance au seigneur de gloire dont elle parle.

Si c’est le cas, alors nous pouvons dire ensemble avec joie :

« Christ est mort pour nos péchés, selon les écritures ; il a été enseveli, il est ressuscité le troisième jour, selon les écritures. Car je sais en qui j’ai cru, et je suis persuadé qu’il a la puissance de garder mon dépôt jusqu’à ce jour là. » (52).

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