« Dieu seul peut accorder la foi. »

« Dieu seul peut accorder la foi. »

Effectivement, la foi se « reçoit », puisque c’est Dieu qui la donne. Quand Jésus demande à ses disciples: « D’après vous, qui suis-je? » et que Simon Pierre répond: « Tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant », Jésus enchaîne: « Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car ce n’est pas une pensée humaine qui t’a révélé cela, mais c’est mon Père céleste » (Matthieu 16.15-17).

On a donc raison d’employer l’expression « recevoir la foi ».

2. « Cela dit, Dieu utilise des moyens qui nous engagent pour donner la foi. »

Par exemple, à la fin de l’évangile selon Jean, l’auteur déclare: « Jésus a accompli encore, en présence de ses disciples, beaucoup d’autres signes qui ne sont pas décrits dans ce livre. Mais ceux-ci ont été décrits afin que vous croyiez que Jésus est le Messie, le Fils de Dieu, et qu’en croyant vous ayez la vie en son nom » (Jean 20.30-31).

Si Dieu accorde la foi, il le fait en utilisant des moyens concrets, comme la lecture de l’évangile selon Jean (et du reste de l’Écriture).

La Bible n’encourage donc pas l’attente passive du surgissement de la foi dans sa vie. Elle invite plutôt à l’utilisation énergique des canaux que Dieu privilégie pour offrir le don de la foi.

3. « Demande à Dieu de t’accorder la foi, puis penche-toi sérieusement sur le message de la Bible, de préférence avec des chrétiens qui vivent réellement ce message. »

Le meilleur cadre pour découvrir la Bible en vue de recevoir la foi, c’est la compagnie des chrétiens. En effet, ces derniers peuvent expliquer le texte biblique aux non initiés, et dans le même temps fournir des illustrations vivantes de l’impact percutant du message chrétien. Dans la mesure où, bien entendu, ces chrétiens adoptent un style de vie en cohérence avec ce qu’ils croient.

Parmi les situations concrètes qui permettent un contact avec la Bible aussi bien qu’avec les chrétiens, on retrouve:

la lecture régulière de la Bible à deux: un non-chrétien avec un chrétien

la lecture ou l’étude de la Bible au sein d’un petit groupe qui comprend à la fois des non-chrétiens et des chrétiens

les groupes de découverte de la Bible (qui présentent systématiquement les grandes vérités bibliques aux personnes intéressées)

les cultes hebdomadaires adaptés à la présence de non-chrétiens (dans certaines Églises, c’est le cas tous les dimanches, dans d’autres, c’est plus occasionnel)

« Tu aurais aimé recevoir la foi? » C’est encore possible, puisque “la foi vient de ce qu’on entend et ce qu’on entend vient de la parole de Dieu” » (Romains 10.17).

Bonne jour née à tous.

Fabrice

Une vie communautaire.

« voyez qu’il est bon, qu’il est doux d’habiter en frère tous ensemble » (psaume 133,1) notre but est d’examiner quelques orientations et règles que donne l’écriture sainte pour la vie communautaire sous l’autorité de la parole.

Il ne va pas de soi pour le chrétien de pouvoir vivre parmi d’autres chrétiens Jésus-Christ a vécu au milieu de ses ennemis. Finalement tous ses disciples l’ont abandonné sur la croix, il s’est trouvé tout seul, entouré de malfaiteurs et de moqueurs. Il était venu apporter la paix aux ennemis de Dieu. De même, la place du chrétien n’est pas dans la réclusion d’une vie cloîtrée, mais au milieu de ses ennemis. C’est là qu’il a sa tâche, son travail. « Le règne de christ doit s’établir au milieu de ses ennemis. Ne pas souffrir cela, c’est ne pas vouloir être de cette seigneurie mais vivent entourer d’ amis, assis parmi les roses et les lis , loin des méchants dans un cercle de gens pieux. Ho ! Vous qui blasphémez et trahissez le Christ ! Si Christ avait fait comme vous le faites, qui donc aurait pu être sauvé » ?

Je les ai disperserai parmi les nations, mais même au loin ils se souviendront de moi (Zacharie. 10,9) c’est la volonté de Dieu que la chrétienté soit un peuple dispersé, disséminés comme une semence se jetée « un parmi tous les royaumes de la terre » (Deutéronome 28,25) ce sont à la fois sa malédiction et sa promesse. C’est dans des pays éloignés, parmi les incroyants que le peuple de Dieu doit vivre, mais il se sera la semence du royaume de Dieu dans le monde entier.

« Je ferai entendre mon signal pour les rassembler car je les ai racheter », « ils reviendront » (Zacharie 10,8) quand cela arrivera-t-il ? Cela est arrivé en Jésus-Christ qui est mort « pour réunir dans l’unité les enfants de Dieu qui sont dispersés » (Jean 11, 52), et cela arrivera finalement de manière visible à la fin des temps, quand les anges de Dieu « des quatre vents, depuis un une extrémité des cieux à l’autre, rassembleront ses élus » (Matthieu 24,31) mais jusque-là, le peuple de Dieu demeure dans la dispersion, tenus ensemble par Jésus-Christ seul, devenu un du fait que (ses membres) disséminées parmi les incroyants se souviennent de lui sur les terres lointaines.

Ainsi, tant la période qui va de la mort du Christ aux derniers jours, c’est des chrétiens peuvent déjà vivre ici avec d’autres chrétiens dans une communauté visible, ce n’est en fait que par une sorte d’anticipation miséricordieuse des réalités dernières. C’est par la grâce de Dieu qu’une assemblée peut se réunir de manière visible dans ce monde autour de la parole de Dieu et du sacrement. Tous les chrétiens n’ont pas part à cette grâce. Les prisonniers les malades les isolaient qui vivent dans la du sport, les prédicateurs de l’Évangile en terre païenne sont seuls. Ils savent qu’une communauté visible est une grâce. Il prient avec psalmiste : je me laisse aller à évoquer le temps où je passais la barrière, pour conduire jusque dans la maison de Dieu parmi les cris de joie et de louange, une multitude en fêtes » (psaume 42,5) mais ils restent seuls une graine disséminée sur des terres lointaines selon la volonté de Dieu. Cependant, ce qui lors de me refuser en tant qu’expérience visible, et se saisissent avec d’autant plus d’intensité par la foi. C’est ainsi que le disciple du seigneur, Jean le visionnaire de l’Apocalypse, exilé dans la solitude de l’île de Pâques commence, célèbre le culte céleste « en esprit, le jour du seigneur » (Apocalypse1, 10 avec les assemblées qu’il connaît. Les sept chandeliers qu’il voit sont les églises, les sept étoiles leur ange ; au centre, et dominant l’ensemble, il voit le fils de l’homme, Jésus-Christ dans la haute gloire du ressuscité. C’est lui qui fortifie et le console par sa parole. C’est de la communauté céleste à laquelle l’exil participe au jour de la résurrection de seigneur.

La présence corporelle d’autres chrétiens et pour le croyant une source incomparable de joie et de réconfort. À la fin de sa vie l’apôtre Paul prisonnier, ne peut contenir le désir qui le fait appeler auprès de lui, dans sa prison, Timothée « son bien-aimé fils dans la foi » il peut le revoir et l’avoir à ses côtés. Il n’a pas oublié les larmes versées par Timothée lors de ces derniers adieux (2Timothée 1,4) pensant l’assemblée de Thessalonique, il prie Dieu « nuit et jour avec insistance pour qu’il nous soit donné de vous revoir » (1Thessalonissiens 3, 10) ; et l’apôtre Jean devenu vieux, c’est que la joie que lui procurent les siens ne sera parfaite que lorsqu’il pour revenir chez eux et leur parler de vive voix, au lieu de le faire par lettre avec de l’encre (2 Jean 12) le croyant n’a pas avoir honte et à se croire encore trop charnel en désirant voir d’autres croyants en chair et en os. C’est comme corps que l’être humain a été créé, c’est comme corps que le fils de Dieu est apparu pour nous sur la terre, c’est comme un corps qu’il est ressuscité, c’est dans son corps que le croyant reçoit le Christ au moment du sacrement et c’est enfin la pleine communauté entre des créatures à la fois esprit et corps que créera la résurrection des morts. À travers la présence corporelle d’un frère en la foi, le croyant peut louer le créateur, le réconciliateur et le rédempteur, Dieu le père, le fils et le Saint Esprit. Le prisonnier, le malade le chrétien de la disposa reconnaisse dans un frère qui les visite insigne corporelle de grâce : la présence du dieu des trinitaires. Le visiteur est celui qui est visité reconnaisse dans la solitude-là après l’autre, le Christ qui est présent dans le corps, il s’accueille et se rencontre l’un l’autre comme on rencontre le seigneur, dans la crainte, dans l’humilité et la joie. Il accueille réciproquement cette bénédiction comme celle de Jésus-Christ lui-même. C’est donc une seule rencontre entre frères comporte déjà une telle béatitude, quel trésor inépuisable ne doit-il pas s’ouvrir pour ceux qui sont jugés dignes par la volonté de Dieu de vivre dans une communauté de vie quotidienne avec d’autres chrétiens ! Certes, ce qui est pour l’être isolé une grâce inexprimable de Dieu et facilement dédaigné et foulé aux pieds par ceux qui ont chaque jour les bénéficiaires. En oublient facilement que la communauté de frères chrétiens est un don gracieux du royaume de Dieu qui peut nous être repris chaque jour, et que nous pouvons d’un instant à l’autre être précipité dans la solitude la plus profonde. Il faut donc que celui qui peut mener jusque cette heure une vie chrétienne commune avec d’autres chrétiens loue la grâce de Dieu du plus profond de son cœur, remercie Dieu à genoux et reconnaissent : c’est une grâce une pure grâce, de pouvoir vivre aujourd’hui encore dans la communauté de frères chrétiens.

Une communauté chrétienne signifie une communauté par Jésus-Christ et en Jésus-Christ .Il n’existe aucune communauté chrétienne qui serait plus et aucune qui serait moins que cela .De la simple rencontre occasionnelle à la communauté de tous les jours qui dure depuis des années , la communauté chrétienne n’est que cela .Nous appartenons les uns aux autres seulement en Jésus-Christ et en lui.

Qu’est-ce que cela signifie? Cela signifie d’abord qu’un chrétien a besoin d’un autre à cause de Jésus-Christ ; ensuite , qu’un chrétien ne vient à l’autre que par Jésus-Christ , enfin que nous avons été élus de toute éternité en Jésus-Christ , accueillit dans le temps et réunis pour l’éternité.

AMEN

L’au-delà:

L’au-delà

L’au-delà: un mirage ?  Ou bien existe-t-il vraiment ? Faut-il y croire ?  Comment y parvenir ? Par quels chemins ?  Par quels moyens ? Une fois ou l’autre ces questions surgissent dans l’esprit de tout être humain. Où trouver la réponse? Notre seule référence pour ce sujet se trouve dans la Parole de Dieu, la Bible. Tout ce que Dieu a dit s’accomplit infailliblement. On trouve déjà les expressions shéol dans l’Ancien Testament et hadès dans le Nouveau. Elles désignent le lieu invisible où vont les âmes après la mort. Dans l’Evangile, le Seigneur Jésus lève lui-même le voile sur l’Au-delà et montre la situation de deux hommes après leur mort. L’un est dans une position d’intimité avec Abraham, ce qui est le plus grand bonheur pour un Juif; l’autre est dans les tourments, n’ayant pensé qu’à profiter de la vie sans s’inquiéter ni de Dieu, ni de son avenir (Luc 16). Ce n’est qu’après la mort et la résurrection de Jésus Christ que l’Au-delà s’illumine d’une clarté particulière; en effet, le Nouveau Testament nous parle de la part bienheureuse des croyants après la mort. Déloger et… être avec Christ, … cela est de beaucoup meilleur (Philippiens 1:23); absents du corps… présents avec le Seigneur (2 Corinthiens 5:8). Déjà au brigand repentant sur la croix, Jésus dit: Aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis (Luc 23:43). Etienne, le premier martyr chrétien a vu le ciel ouvert, la gloire de Dieu et Jésus à la droite de Dieu (Actes 7). L’apôtre Paul a été enlevé jusqu’au troisième ciel et y a entendu des paroles merveilleuses que le langage humain n’est pas capable d’exprimer (2 Corinthiens 12). Le troisième ciel nous parle de la demeure de Dieu, de Dieu révélé dans sa plénitude, par le christianisme, comme Père, Fils et Saint Esprit. Dans le premier ciel, nous pouvons voir le ciel créé, le ciel des astres; dans le deuxième ciel, les lieux célestes, le monde invisible où sont les anges. L’Au-delà est donc caractérisé par deux endroits bien différents que la Parole de Dieu appelle: le paradis, le ciel, la maison du Père, ou: les ténèbres de dehors, un lieu de tourments, la seconde mort.

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La mort Le corps retourne à la poussière et l’esprit retourne à Dieu qui l’a donné (Ecclésiaste 12:7). La mort ne règle rien. De nombreuses personnes cherchent à se persuader que tous leurs problèmes prendront fin lorsqu’elles mourront, mais la mort ne règle pas la question du péché, et elle ne met pas non plus fin à la misère du pécheur. Elle met un terme à l’orgueil et aux prétentions de l’homme. C’est donc sur la terre que l’homme est responsable de se mettre en règle avec Dieu. S’imaginer qu’il aura encore une possibilité de le faire après la mort est une illusion du diable. Au moment où l’homme expire, son sort est définitivement fixé.

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Le salut, la vie éternelle Il n’y a pas de remède contre la mort, mais le Dieu d’amour, le Dieu vivant et vrai, offre à tous, sans exception, un moyen de salut: Jésus Christ. Il n’y a de salut en aucun autre, car aussi il n’y a point d’autre nom sous le ciel… par lequel il nous faille être sauvés (Actes 4:12). Seul Celui contre lequel nous avons péché peut nous délivrer du fardeau et du châtiment de notre péché. Seule la mort de Jésus Christ sur la croix pouvait payer la dette écrasante du péché et nous acquérir le pardon divin. Aucune souffrance, aucune pénitence, aucun pèlerinage ne peut effacer un seul péché. Le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché (1 Jean 1:7). Le salut, la vie éternelle est un don du Dieu d’amour; il ne s’acquiert ni par l’argent, ni par des œuvres méritoires, mais par la repentance et la foi au Seigneur Jésus. Il est donc à la portée de tous. Pour celui qui a confessé ses péchés et mis sa confiance dans le Seigneur Jésus, la mort, vaincue par Jésus Christ qui est devenu son Sauveur, n’est plus qu’une servante qui l’introduit dans la présence de Jésus où il attend en paix la résurrection. Celle-ci aura lieu quand Jésus reviendra. Les bienheureux rachetés, revêtus d’un corps glorieux, seront alors pour toujours avec le Seigneur.

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Nous supplions pour Christ: Soyez réconciliés avec Dieu! Dans l’Au-delà, le monde avec tous ses intérêts, son agitation et ses illusions aura passé. Pour celui qui ne connaît pas Jésus comme son Sauveur personnel, la mort, c’est l’attente de la résurrection et du jugement éternel. Selon Apocalypse 21:8, tous les pécheurs qui ne se seront pas repentis auront leur part dans l’étang brûlant de feu et de soufre, qui est la seconde mortLà seront les pleurs et les grincements de dents (Matthieu 24:51). Jésus Christ désire vous sauver. Le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu (Luc 19:10). Et le bon Berger dit de ses brebis: Je suis venu afin qu’elles aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance (Jean 10:10). Le Fils de l’homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés (Marc 2:10).

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Crois au Seigneur Jésus et tu seras sauvé (Actes 16:30,31). Pour toujours avec toi dans la maison du Père, Jésus Christ, mon Sauveur, qui t’es livré pour moi! Avec toi, Dieu de paix, d’amour et de lumière; L’Au-delà près de toi, Quel repos pour la foi

nons à notre langue à parler, comme il faut que notre langue, est-il dit, s’abstienne de dire le mal. Nous ne l’avons pas reçue de Dieu pour en faire un instrument d’accusation, d’insulte et de calomnie. Nous devons nous en servir, pour chanter les louanges de Dieu, pour en faire l’instrument de la, grâce, pour édifier notre prochain, pour lui être utile. Vous avez médit de quelqu’un? Eh bien! qu’avez-vous gagné à vous faire tort ainsi à vous-même, à passer pour un médisant? Le mal, en effet, le mal ne s’arrête pas à celui qui en est victime; il remonte jusqu’à son auteur. L’envieux, par exemple, en croyant faire tomber les autres dans ses piéges, est le premier à recueillir le fruit de son injustice; il se dessèche, il se flétrit, et se rend odieux à tout le monde.

Bonne journée

Fabrice

Jésus le chemin

Le: 5/08

Renoncer à nos miroirs

Il fit la cuve en bronze avec sa base en bronze en employant les miroirs des femmes qui se rassemblaient à l’entrée de la tente de la rencontre.(Exode 38.8)

Lorsque Moïse a réuni les enfants d’Israël pour amorcer la construction du Temple

(Ex 35 – 39), il a fait appel aux services de Betsaleel, un artisan très habile, pour qu’il participe à la fabrication des meubles. On dit que l’on a demandé à certaines femmes de faire don de leurs précieux miroirs d’airain afin de fabriquer la fameuse cuve d’airain (Ex 38.8). Elles y ont renoncé afin de contribuer ainsi à préparer un endroit où la présence de Dieu résiderait.

Renoncer à nos miroirs ? Pour la plupart d’entre nous, la chose serait difficile à faire. Or, ce n’est pas une chose qui nous est demandée, mais qui me porte à réfléchir au fait qu’un trop grand examen de nous-mêmes risque de s’avérer déconcertant. Il est susceptible de nous amener à trop penser à nous-mêmes au détriment des autres.

S’il nous est possible d’oublier rapidement notre propre visage et de nous rappeler que Dieu nous aime tels que nous sommes malgré toutes nos imperfections , il est également possible «que chacun de [nous], au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres» (Ph 2.4).

Augustin a dit que nous nous perdons en nous aimant nous-mêmes, mais que nous nous trouvons en aimant les autres. Autrement dit, le secret du bonheur ne réside pas dans le fait d’avoir la bonne apparence, mais de donner notre cœur, notre vie et notre personne par amour pour autrui.

Le cœur centré sur les autres ne se consumera pas pour lui-même.

Bonne journée .

Fabrice

chemin-et-la-vieJe vais dire en peu de mots comment on devient un enfant de Dieu : c’est seulement par Jésus-Christ. C’est lui qui a dit : « je suis la porte celui qui entrera par moi sera sauvé. » Dans l’épais brouillard de ce monde, il y a Jésus qui vient à notre rencontre, Jésus cet homme portant les marques des clous sur son corps. Sans doute ne vous êtes vous pas souciés de lui. Sans doute aussi, tout ce qui avait trait à lui , cela vous semblez des bêtises, et il vient à votre rencontre, et il se peut alors qu’il vous arrive de le reconnaître : « toi l’homme d’une autre dimension, toi, le fils du Dieu vivant, et c’est toi qui es mon sauveur ! » Le premier pas pour parvenir à être un enfant de Dieu, c’est reconnaître Jésus ; le second point, est d’adopter à son égard une grande confiance : il peut mettre de l’ordre dans ma vie personnelle, dans mon angoisse, dans mon sentiment intérieur de culpabilité, dans mes péchés de jeunesse ! Dans l’Ancien Testament, un homme de Dieu affirme : « tu conduis les affaires de mon âme. » Vient le moment où l’on met sa confiance en Jésus et où l’on lui fait confiance, de se détacher de sa propre vie pour la mettre totalement entre ses mains. Cela s’appelle la conversion comme pour moi il y à 30 ans vint l’heure ou j’abandonnais ma vie d’incroyant pour la donner à Jésus. Personne ne m’a aidé alors. Moi non plus je ne peux pas vous aider. C’est quelque chose que vous devez faire en tête à tête avec lui. Osez faire cette démarche, dite lui seulement : « prends ma vie Jésus ,/ A toi je la donne tout entière ! » À comptait de cet instant, vous serez devenu un enfant de Dieu.Il y a des personnes qui pensent que l’on peut-être sauvé autrement .Vous pouvez essayer , personnellement , je vous dit ceci: pour entrer dans le royaume de Dieu, il n’y a qu’une porte ! et cette porte , c’est Jésus ! Jésus , mort pour nous et ressuscité pour nous .

Lorsque vous serez devenus enfant de Dieu , -je vous en prie , cherchez donc Jésus , il est à votre recherche depuis déjà si longtemps.

Bonne journée à tous

Fabrice

 

 

 

PSAUMES 23

Le 1/08

Psaumes 23

Le roi David, lui-même un ancien berger, débute ce psaume par : « L’Eternel est mon berger », se mettant immédiatement dans la position d’une brebis dépendant de Jésus-Christ (qui est la même personne que l’Éternel de l’Ancien Testament – voir Jn 1 : 1-3 , 14 ; et Héb 1 :2). Cette analogie du Christ comme berger et de ceux que Dieu a choisi comme Ses brebis, est soulignée à plusieurs endroits tout spécialement dans Jean 10, Jean 21 :15-17 et Hébreux 13 :20. Le berger est le pourvoyeur et le protecteur de son troupeau. Sans lui, les brebis sont sans défense. Il en est de même avec l’existence humaine qui n’est rien d’autre qu’une expérience charnelle et remplie de péchés si Dieu ne fait pas partie intégrante de nos vies, (Jn 5 :30 ; Rom 8 :6-11).

Poursuivant par « je ne manquerai de rien », David montre ici qu’en tant que brebis placée sous les soins de Jésus-Christ, il ne manquerait de rien. Ceci est répété dans Psaume 34 :9-10 et indique clairement que David comprenait l’importance de placer Dieu et Ses voies en premier dans sa vie (voir Matth 6 :25-34). Puis il continue. « Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles ». Les deux sont une indication de bénédictions abondantes, autres signes d’une vie selon Dieu.

Le verset 3 débute par « Il restaure mon âme ». David savait qu’il était un pécheur mais comprenait que Christ lui apportait la rédemption et continuerait de lui pardonner s’il se repentait. Le Psaume 51 est un bon exemple qui démontre que David comprenait ce qu’étaient le repentir et la miséricorde.

Si l’on retourne à l’analogie du berger et de la brebis, David poursuit, « Il me conduit dans les sentiers de la justice, à cause de son nom », montrant par là que c’est l’exemple de Christ qu’il nous faut suivre (i.e. copier), et que cela est la gloire de Dieu lorsque nous obéissons. Ce n’est que par la puissance du Saint-Esprit en nous qu’il nous est possible de faire cela (Gal 2 :20 ; Phil 4 :13). Dans le Psaume 119 :172, David définit la justice par « … tous tes commandements sont justes ».

Pour l’avoir vécu, David savait que le berger devait occasionnellement conduire son troupeau à travers un terrain difficile et c’est pourquoi il écrit (en tant que brebis), « Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent ». David avait une confiance totale en Dieu et en Ses voies, il n’avait pas peur, même à « l’ombre de la mort ». La houlette et le bâton sont les outils du berger et sont utilisés par ce dernier pour diriger et corriger le sentier des brebis, de la même façon dont souvent Dieu doit guider, et parfois, corriger notre propre voie. Cela réconfortait David. Paul indique dans II Timothée 1 :7 que cette attitude provient de Dieu : « Car ce n’est pas un esprit de timidité que Dieu nous a donné, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse ».

Même face aux ennemis, David avait pleine confiance : « Tu dresses devant moi une table, en face de mes adversaires ; tu oins d’huile ma tête, et ma coupe déborde ». Il connaissait les promesses de bénédictions et de protection, (Éph 3 :20 ; Lc 11 :9-13 ; comparez ces versets avec Jacques 4 :1-3).

En conclusion, David savait qu’aussi longtemps qu’il suivrait le Christ, « … le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie » ; il attendait le moment de régner (en tant que roi d’Israël — voir Éz 34 :23-24) dans le Royaume de Dieu : « Et j’habiterai dans la maison de l’Eternel jusqu’à la fin de mes jours [pour toujours]